C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de pourveu dans 7FMR 
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[1] Et en aviendra dommage et esloingnement aux humbles servans et amandrissement de voustre pouoir se par vous n'y est pourveu. (Lettres Chart., 1425, 362)
[2] Bien y apert, car, parsouvent louer et recorder mon nom, il demonstre qu'il veult, comme que soit, imprimer en cueur d'omme fermeté d'esperance, de laquelle il fu pourveu,pour profiter a soy et exemplifier aux aultres. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 95)
[3] bien avoit Dieu pourveu a homme a la naissance Jhesu Crist, et desja estoit toute la terre arousee de la sourse de grace par infusion de congnoissance d'un seul vray Dieu, et illusion d'esperance opinative tournee en certaine esperance, quant le dyable, pere de tenebres, feist naistre sur terre et eslever au monde Mahommet. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 117)
[4] Et lui qui estoit bien pourveu de lettres et poy de meurs ne castia pas ses vices par sa science, maiz perverty son savoir a l'agravement de sa mauvaise vie. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 125)
[5] Celuy Sergius ton pareil en ambition esleust ta proximité pour ce qu'il avoit esté refusé de l'Eglise souveraine de Romme a estre colloqué et pourveu en auctorité de prelature pontifical, et pour ce, indigné envers l'Eglise et cité catholique, voulant s'en venger et substraire lez crestiens de leur saint propos, se joingny a toy et t'enforma de seditions et erreurs controuveez, et t'ensaigna a bastir le livre Alcoren, ou tes adherens apprennent la lecture de desmesuree volupté, et reçoivent voulentiers l'ouverte licence et congié de soy aoyller en leurs plaisirs charnelz, et en effrenee luxure. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 125)
[6] De gent si fu pourveu, tant mendre Ost eust assez que cellui Roy Pirrus, qui venoit sur lui ; (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 202)
[7] Et de tout ce furent pourveu Rommains, qui bien l'orent sceü. (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 227)
[8] Et que sur le fait des finances soit bien pourveu qu'en bonnes mains en soient les receptes et distribucions par tel ordre que superfluité de choses non necessaires ne grans dons excessis par prodigalité ne les disperse et despende tellement que les loyaulx debtes et droituriers gaiges en soient reculées et empeschiées, et donner remede que fraudes n'y puissent estre faictes tant des receveurs comme des distribueurset tous autres doit le prince vouloir et souverainement lui doit on conseiller que pour le fait de ses guerres bien maintenir et que plus voulentiers en tel cas soit servis de privéz et estranges que ses gens d'armes soient tres bien paiéz afin aussi que moins aient de excusacion de fouler le pays et grever les laboureurs et que quelconques droit ne les puist garder que pugnis ne soient se apres leurs justes paies ilz prennent riens. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 76)
[9] ITEM, les laiz du conseil qui est le IIIJ.e estat doivent estre bons preudesommes de bel estat et bon vie, soient bourgois ou autres, sages et prudens, lesquelz aient frequenté en leur vie gens de divers estas et offices, tant de finance comme de fait d'escriptures et lectres royaulx et de justice, si qu'ilz soient tous stilléz de fait de finances et de comptes, et generalment de tout ce qui y appartient, et yceulx conseilleront le prince es voies bonnes, justes, loyalles et licites à son prouffit de fait de finances et comment sur les receptes et revenues de son royaume ou pays pourra estre, pourveu qu'il n'y soit baretéz, et en tout ce qui y touche, bien et bel l'adviseront, mais bien se garderont se preudesommes sont et de conscience, de lui mectre au devant quelconques voie de traire argent estorcionnairement ne hors droit, car à leur grant charge seroit, et ycelz gens sont ydoinés es dis offices de finances et des comptes. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 77)
[10] Car, si que dit Tulles, le sage est pourveu du bien et du mal ains qu'il lui aviengne, et pour ce ne se trouve il deceu. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 93)

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