| [1] | De cy nous couvient departir, Car trop nous pourrions repentir Du sejour, se le roy parler En oyoit ; (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 46) | | [2] | Et pour ce Saint Gregoire en son omelie dit ainsi: Se nous bien considerons quelles et combien grandes choses nous sont promises es cielz, nous reputerons neant et viles toutes les plus grans joies, honneurs et aises que avoir pourrions en cestui, ne toutes les prosperitez temporelles envers la vie eternele sont chetiveté et mort. (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 45) | | [3] | Or montons sus ce mont, amie, Si verras ce que t'ay promis A l'aide de Dieu, mes amis, Car de plus avant approuchier Nous le pourrions comparer chier. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 67) | | [4] | Par maintes particularitezpourrions trouver exemples de la juste voulenté du sage roy, lesquelz je laisse pour cause de briefté ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 62) | | [5] | Or soit de nous notté et advisié se nous pourrions trouver nostre roy en ceste partie plus que Scipion, les verités de ses oeuvres prouvées par notables gens encore vivans, avec le texte de trop briefves croniques de ses fais ou contenu de ses guerres, es quelles Dieu lui donna de belles victoires, si comme sera dit cy après. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 65) | | [6] | Viengne saint Gregoire en son omelie et le nous die, vez le cy : «Se nous considerons bien quelles et comment grandes choses nous sont promises es cieulz, nous reputerions viles toutes les choses que nous pourrions avoir en terre, car toute la substance terrienne comparee a la souveraine felicité nous est plus a charge que a aide. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 138) | | [7] | Vray est que les conquerans les doivent cercher, pour abreger leur oeuvre, et ceulx qui ont les bonnes gens de pied et meilleurs que leurs voysins, comme nous pourrions aujourduy dire d'Angloys ou de Suysses. (COMM., I, 1489-1491, 109) | | [8] | mais tost laissa ses heures et me dist qu'il ne failloit point tenir la cerimonie des Innocens ce jour et que je montasse à cheval et essayasse de parler aux chefz des Angloys pour veoir si les pourrions retirer et que je deïsse à ses cappitaines, si aucuns en rencontraye, que ilz veinsent parler à luy et qu'il viendroit incontinent à la porte après moy. (COMM., II, 1489-1491, 58) | | [9] | " Madame, qui les eust toutes oyes, respondit: "Il souffit de prendre de sa berbis la laynne, et pour ce je m'areste aux toctees a la poudre de duc, a l'ypocras et autres vins estranges et delicieux qui nous doivent bien souffire, Mais vraiement nous entendons a gaignier tous ces pardons ou la plus grant partie, car ne sçavons se y pourrions recouvrer ne retourner en autre temps. (LA SALE, J.S., 1456, 254) | | [10] | Aultrement pourrions mesprendre, Congneu le bien qui nous advient. (LA VIGNE, S.M., 1496, 468) |
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Attestation de 