C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de portes dans 7FMR 
38 attestations 
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[1] Que dira l'en de Troye la renommee et la tresriche, et de Ylion, le chastel sans per dont les portes furent d'ivoire et les columpnes d'argent, et maintenant a paine reste le pié des fondemens que les haulx buissons forcloent de la veue des hommes? (CHART., Q. inv., 1422, 3)
[2] L'autre tour toutes A passé ces estranges doubtes, Quoy que ses portes soient rouptes; (CHART., L. Dames, 1416, 262)
[3] Ne sces tu pas que dissimulation a de si long temps occupé les portes et les entrees des cours des princes, que verité qui tant a hurté a l'uys et se fait ouir dehors par publiques oeuvres, ne peult dedens avoir entree? (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 7)
[4] Roy qui portes couronne et ceptre en ce monde, que as tu davantage sur ung povre bergier, ou que t'a donné nature et ton pere plus avant, fors ce que Dieu y a mis par previlege de grace? (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 67)
[5] Dame qui portes en toy lez dignités figuratifvez du Saint Esperit, et par sainte simplicité colombine as vertu de divin message a confermer lez creatures en congnoissance du Createur, langue et parolle tresperçans plus que glaives agus pour pervenir jucquez a la division de l'ame joincte au corps sencitivement et de l'esperit eslevé a Dieu par espirituelle graceet feu embrasé de vraye amour et crainte de celuy qui nous appella de son amitié pour soy enamourer de nous le premier, ce que nous est advenu me donne a present moins de poix a porter; (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 85)
[6] La legende recite que le saint homme fist ouvrir les portes de la cité au tyrant et mescreant Athilla, qui n'espargnoit le glaive a sexe de quelque aage, et menoit avecquez soy plus de milliers d'ommez que noz princes du jourd'uy n'assembleroient de centaynes. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 145)
[7] Si ne sera plus convoyé De Eür, qui l'a renoyé, Mais Meseür le raconvoye Et telle gent souvent avoye Ou chemin des .II. laides portes, Ou trestoutes joyes sont mortes. (CHR. PIZ., M.F., I, 1400-1403, 134)
[8]Tout ainsi com j'ay devisé Du chastel, que bien avisé, Les façons et le circuït Et le hault donjon, qui reluit, Les autres estages et portes, Qui semblent, et ne le sont, fortes, Et quel gent a dedens logiez Et comment y sont hebargiez, Vous vueil je, com j'ay dit des corps, Les condicions dire encors Des habitans de cellui lieu, Des plus haulx, de ceulx du mislieuEt des moyens et des meneurs. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 3)
[9] Les autres leur portes cloyrent. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 180)
[10] Mais que les citoyens tenissent Leurs portes closes, ne n'ississent, Ja ne leur besongnast combatre, Car leur murs on ne peust abatre ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 181)

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