Attestation dans les corpus textuels   Attestation de portarent dans 7FMR  6 attestations   Page 1/1  [1] les quells me portarent sauf conduit du Soudain de Babiloyne, [f°36 r°] que tient toute celle terre de mescreans en sa main. (6208, 33) [2] et finallement se mirent toutes les communes sus, armez et desarmez, et par les passaiges et destroits lesditz Allemans portarent et firent tant de maulx et de dommaige aux gens du daulphin, par prinses et par compaignies, que force leur fut de revenir. (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 62) [3] Premierement, quant le prestre, qui celebroit la messe, qui fut l'evesque de Tournay, fut retourné de l'autel devers les chevaliers, les officiers d'armes, vestuz de leurs cottes d'armes, en lieu de clercz de chappelle, portarent un carreau de drap d'or, et devant l'autel avoit ung ratelier, auquel avoit autant de cierges qu'il y avoit de chevaliers portans l'ordre de la Thoison d'or, presens et absens et trespassez depuis la derniere feste tenue, et print Fusil, le poursuyvant, celuy du duc fondateur et chief, le baisa et le bailla au roy d'armes de la Thoison d'or, lequel roy d'armes, en soy adgenouillant par trois fois, vint devant le duc et dit: " Monseigneur le duc de Bourgoingne,de Lotrich, de Brabant, de Lembourg et de Lucembourg, conte de Flandres, d'Artois et de Bourgoingne palatin, de Hollande, de Zeellande et de Namur, marquis du Sainct Empire, seigneur de Frise, de Salins et de Malines, chief et fondateur de la noble ordre de la Thoison d'or, allez à l'offerande! (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 90) [4] et luy portarent les chevaliers grant honneur et reverence, et retourna en sa place. (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 92) [5] et le lendemain furent à la grant messe et furent à l'offerande comme le jour devant, et, après l'offerande, le greffier de la Thoison nomma tous les chevaliers trespassez qui oncques portarent l'ordre de la Thoison, les recommandant aux chevaliers, leurs freres, pour prier pour eux. (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 94) [6] et donnarent les François sur le quartier à la main senextre, dont plusieurs portarent le faiz à grant peine; (LA MARCHE, Mém., III, c.1470, 12) [7] Les chevalliers de l'ordre, qui ne portarent point le dueil, estoient tous à pied, adextrans le chariot et tenans le palle couchant, et le palle eslevé fut soubstenu par quatre des plus grans du pays de Bourgoingne, et n'ay point de souvenance pour les nommer; (LA MARCHE, Mém., III, c.1470, 60) Fermer la fenêtre