C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de ponent dans 7FMR 
2 attestations 
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[1] La .XXXVe. euvangille Quant en quelque chambre voulez adouber lit ou couche a dormir, mettez le dossal vers midi affin que, se quelque pacient y couchoit, qu'il ait tousjours la clarté du jour sans grant veue de soleil, et au serain et au matin, le air de levant et ponent qui sentent ayr de montaignes et de fontaines; (Ev. Quen. II, c.1466-1474, 140)
[2] Dominus enim mandavit Iosue ut habitatoribus Hay insidias ponent. (JUV. URS., Verba, 1452, 255)
[3] Car combien que les navires soyent basties de gros bois bien lié, chevillé, et bien godronné, et que celuy mesme où j'estois peust avoir environ dix-huict toises de long, et trois et demi de large, qu'est-ce en comparaison de ce gouffre et de telle largeur, profondeur, et abysmes d'eau qu'est ceste mer du Ponent ? (S746, 115)
[4]Ainsi reprenant mon propos, parce que ce n'estoit qu'un moyen navire marchand où nous repassasmes, le maistre d'icelle dont j'ay jà parlé, nommé Martin Baudouin du Havre de Grace, n'ayant qu'environ vingtcinq matelots, et quinze que nous estions de nostre compagnie, faisant en tout nombre de quarantecinq personnes, dés le mesme jour quatriesme de Janvier, ayant levé l'ancre, nous mettans en la protection de Dieu, nous nous mismes derechef à naviger sur ceste grande et impetueuse mer Oceane et du Ponent. (S746, 507)
[5]Semblablement ayant n'agueres parlé de la sonde, de laquelle j'ay souvent ouy faire des contes qui semblent estre prins du livre des quenouilles : assavoir que ceux qui vont sur mer la jettant en fond, rapportent au bout d'icelle de la terre, par le moyen de laquelle ils cognoissent la contrée où ils sont : cela estant faux quant à la mer du Ponent, je diray ce que j'en ay veu, et à quoy elle y sert. (S746, 523)
[6] Parquoy si cela se fait és autres mers comme en la Mediterranée, ou par terre en passant pays és deserts d'Affrique, où aussi ainsi qu'on a escrit, on se conduit par les estoilleset par le Cadran marin, je m'en rapporte à ce qui en est : mais pour l'esgard de la mer du Ponent, je maintien ce que j'ay dit estre veritable. (S746, 524)

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