C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de poignet dans 7FMR 
3 attestations 
 Page /1 

[1]Maistre Nicolas des Bordes, delivrez a l'abbé de Saint Magloire de Paris ou a son certain messager six sextiers de frement qui le sic sont deu depuis la Saint Jehan CCCLVII jusques a la Saint Jehan CCCLVIII sur la ferme du molin de Poignet, et ledit blé vous sera deduit de ce que vous devez a cause dudit molin. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 226)
[2]Saichent tuit que nous, frere Brice, humbles abbés de l'eglize Saint Magloire de Paris, avons eu et receu du roy nostre sire par la main des religieuses abbeesse et couvent du Lis, pour nostre part et porcion a nous appartenant a cause de six setiers de blé que nous devons prendre et avoir de rente par an sur le moulin de Poignet a Meleun, du premier jour de janvier CCCLXVI jusques au premier jour de janvier CCCLXVII, pour tout quatre setiers et trois minoz de blé, et de la quelle porcion nous avons encore deduit et rabatu XL s. par. pour nostre part et porcion des meulles qui ont esté mises de nouvel ou dit moulin ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 363)
[3]Sachent tuit que nous, frere Mahy, par la permission divine humbles abbés de l'eglise Saint Magloire de Paris, confessons avoir eu et receu dehonnorable homme maistre Nicolas de Stain, receveur du demaine pour le roy nostre sire a Meleun, ung muy de blé a nous deu pour deux annees, c'est assavoir pour l'an mil CCCIIIIxx et treize et quatre vins et quatorze, a cause de demi muy de blé que nous prenons, chascun an, sur le molin de Poignet, assis lez Meleun ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 689)
[4]L'Olivier ne vient sans grand soing et labeuren ces païs septentrionnaux, à raison de la froideurde l'air, parce qu'il demande un air chaudet temperé, ains si tu veux planter olivier enton parterre, esliz un lieu tourné au Midy etassez haut eslevé qui soit de bon gueret, audessous argilleux, et par dessus meslé de sablon et de croye,espois, moitte et non maigre, auquel planteras environ lamy Mars des rejettons et branches nouvelles, belles et fertiles,arrachees des rameaux de l'arbre, grosses comme le poignet,et longues d'un pied et demy, et les poseras en terre, demesme façon qu'elles estoyent en l'arbre, le bout d'embas enbas, et celuy d'enhaut tourné et regardant au ciel, commequand elles estoyent en l'arbre : car si tu les mets renversees enterre, elles prendront à grand peine : et si elles prennent, demeureronttousjours steriles, les faudra enduire tant au piedqu'à la teste, de fien meslé avec cendre, et les poser en terreavec telle profondeur, que par dessus il y ait quatre doigts deterre menue : ne les transplanteras avant cinq ans, mais cependantles faudra fouïr tous les mois, fumer de fien de chevreen automne : arrouser d'eau de pluye plustost que de fontaine,puys, ou riviere : quelquesfois esmonder des branchessuperflues, et principalement des jettons secs et arides : taillernon plustost que huit ans, et apres de huit ans en huit ans : arrouserquelquesfois le pied des puissans oliviers de la lie d'olives,pour les garder des vents ou autres vermines, qui sontsouvent molestes à ceste plante : les defendre du bestial, principalementdu broutement de la chevre, qui la rend du toutsterile. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, (null))
[5]L'Olivier ne vient sans grand soing et labeuren ces païs septentrionnaux, à raison de la froideurde l'air, parce qu'il demande un air chaudet temperé, ains si tu veux planter olivier enton parterre, esliz un lieu tourné au Midy etassez haut eslevé qui soit de bon gueret, audessous argilleux, et par dessus meslé de sablon et de croye,espois, moitte et non maigre, auquel planteras environ lamy Mars des rejettons et branches nouvelles, belles et fertiles,arrachees des rameaux de l'arbre, grosses comme le poignet,et longues d'un pied et demy, et les poseras en terre, demesme façon qu'elles estoyent en l'arbre, le bout d'embas enbas, et celuy d'enhaut tourné et regardant au ciel, commequand elles estoyent en l'arbre : car si tu les mets renversees enterre, elles prendront à grand peine : et si elles prennent, demeureronttousjours steriles, les faudra enduire tant au piedqu'à la teste, de fien meslé avec cendre, et les poser en terreavec telle profondeur, que par dessus il y ait quatre doigts deterre menue : ne les transplanteras avant cinq ans, mais cependantles faudra fouïr tous les mois, fumer de fien de chevreen automne : arrouser d'eau de pluye plustost que de fontaine,puys, ou riviere : quelquesfois esmonder des branchessuperflues, et principalement des jettons secs et arides : taillernon plustost que huit ans, et apres de huit ans en huit ans : arrouserquelquesfois le pied des puissans oliviers de la lie d'olives,pour les garder des vents ou autres vermines, qui sontsouvent molestes à ceste plante : les defendre du bestial, principalementdu broutement de la chevre, qui la rend du toutsterile. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, (null))

Fermer la fenêtre