C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de plut dans 7FMR 
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[1] Nobles gens, qui me plurent moult, Y vi, et d'aucuns moult desplut Dont mieulx a faire ne leur plut ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 31)
[2] ! Aprés lui, regna Abias .III. ans et, aprés lui, Asa ! .XLI. an, et, en ce temps, fu le prophete Helye et, ! en ce temps, furent .III. ans qu'il ne plut oncques ! et, tant comme regnerent les .III. dessus diz roys, ! c'est assavoir : Roboam, Abias et Asa, sur le ! royaume de Juda, qui ne comprenoit que .II. lignees, ! c'est assavoir : la lignee de Juda et de Benjamin, ! et estoit son siege en Jherusalem ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 162)
[3]A Tarentins celle envaye Ne plut pas ; (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 201)
[4] Et du ciel plut a grosses gouctesLaict tout blanc, dont les pierres toutes De la blancheur furent couvertes, Et les fueilles des arbres vertes. (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 210)
[5] Semblablement te plut, beaux sire Dieux, estre beneys par la bouche des enfans le jour que tu entras à grant solempnité en Jherusalem que à haulte voix crioient : Sauveur, filz de David, benoit soies tu qui viens au nom de Notre Seigneur. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 59)
[6] Famine y vi et povreté Et meseur et maleurté, Aussi y vi je moult de bien, Bon eur et paix, qui me plut bien, Plenté, chierté, naissance et vie, Commencement, fin assouvie, Discorde, accort, guerre, habondance, Puissance, amertume, plaisance, Haine, amour, honnour qui monte, Servitude, franchise et honte Cupido, Jocus, dieux d'amours, Les filz Venus de franches mours, Et d'autres telz gens a milliers, De bien et de mal bouteilliers. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 97)
[7] et, comme ceulz de Cartage eussent plusieurs prisoniers de Romme, et les Rommains de ceulz de Cartage, voulsissent bien avoir leurs prisonniers et rendre ceulz de Romme, leur plut envoier en message le dit Regulus, receu toutefois son serement que, ou cas que non, il retourneroit en la prison ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 89)
[8] Et puet estre as tu femme prinseAutre fois: beau filz, or t'advise, Se tu l'eus, s'elle te plut Et s'elle onques jour te deçut, S'elle fut chaste ou adultere, S'elle ensuy de meurs sa mere, S'elle fut laide ou gracieuse, S'elle fut douce ou despiteuse, S'elle se courça de legier, S'elle te fist onques dangier, S'elle fut couvoiteuse ou fole, S'elle t'esmut onq par parole A courroux ou crudelité, Se tu trouvas fidelité Et repos en sa conscience, S'elle rendit obeissence Et services a toy ou non, Advise aux diz de Salemon, Pran bien garde qu'en dit Moyse En Bible et en la loy juise: " Cilz, " dist il, " qui femme prandra, Puis qu'avec lui la retendra Et elle ait pueur en sa face, Si que pour ce n'ait pas sa grace, Escrive li, baille ou lui die Le libelle de repudie En sa main, sa maison delesse, Et, s'a autre mari s'adresse Qui la praingne, et puis la harra, Autre libelle lui baurra Et la larra en sa maison Repudiée de raison, Ou, se mourra par adventure, Ses premiers maris de droitureN'ert jamais tenus d'elle prandre, Car pollue est. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 229)
[9] Lors il commença a faire son office de varlet tranchant et si gracieusement que au roy et a la royne et a tous plut tresgrandement. (LA SALE, J.S., 1456, 68)
[10] On mist ce jour en si cruel sentier De sang humain les rabiz, les gros sires Qu'il ne fut plut ne besoing ne mestier Au moins exprés, mettre sur mer navires. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 175)

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