C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de pleu dans 7FMR 
83 attestations 
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[1] Et tres doulx Dieux plain de bonté et infinie misericorde, quoy que assez se pourroient dire et raconter des foiz esquelles t'a pleu demonster par enfans innocens et simples tes divines graces et vertus en maintes guises, devons nous taire de non te louer et magnifier avec les autres bontéz passées de tous noz courages par grant affection de ce que semblablement, presentement, et de nouvel, nous a voulu secourir, visiter, et conforter en notre tres grant affliction par un seul enfant inspiré en bouche et en fait de ton saint esperit, par lequel, moyennant ta tres grant misericorde, et ouyés les voix des vrais deprians, t'a pleu par benigne paix garir, saner, et curer la mortelle playe de dure hayne et l'effusion de sang tres orrible ja toute enmeillié de ton catholique royaume de France qui tout perissoit. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 59)
[2] Et tres doulx Dieux plain de bonté et infinie misericorde, quoy que assez se pourroient dire et raconter des foiz esquelles t'a pleu demonster par enfans innocens et simples tes divines graces et vertus en maintes guises, devons nous taire de non te louer et magnifier avec les autres bontéz passées de tous noz courages par grant affection de ce que semblablement, presentement, et de nouvel, nous a voulu secourir, visiter, et conforter en notre tres grant affliction par un seul enfant inspiré en bouche et en fait de ton saint esperit, par lequel, moyennant ta tres grant misericorde, et ouyés les voix des vrais deprians, t'a pleu par benigne paix garir, saner, et curer la mortelle playe de dure hayne et l'effusion de sang tres orrible ja toute enmeillié de ton catholique royaume de France qui tout perissoit. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 59)
[3] de laquel chose, s'il eust pleu à Dieu que sa vie eust esté longue, croy que grant bien fust venus ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 98)
[4] Mais puisqu'il vous a pleu de vostre grace tant m'onnorer qu'a moy si clere evidenment vous estes manifestee, me racontent vos grans proprietez, encore vous requier que a anui ne vous soit de me declairer aucunes demandes. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 88)
[5] Monsieur l'arcevesque de Vienne, pour satisfaire à la requeste qu'il vous a pleu me faire de vous escrire et mettre par memoire ce que j'ay sceu et congneu des faictz du roy Loys unziesme, à qui Dieu face pardon, nostre maistre et bienfaicteur, et prince digne de très excellente memoire, je l'ay faict le plus près de la verité que j'ay peu et sceu avoir souvenance. (COMM., I, 1489-1491, 1)
[6] J'ay receu les lettres qu'il vous a pleu m'escripre par vostre ambaxadeur, lequel s'en va devers le roy, et aussi veu ses instructions, dont je vous mercye, madame, tant qu'il m'est possible, de la grant confiance que vous me monstréz; (0304, 43)
[7] J'ay receu la lettre qu'il vous a pleu m'escripre du xxe de novembre, a quoy je ne vous faiz autre responce, pour ce que je sçay que depuis avéz receu plusieurs lettres de vostre ambaxadeur estant par deça, mais vous povéz estre asseuree que en toutes les façons en quoy je le pourray adrescer ne en quoy je vous pourray ne saray faire service, que je le feray continuellement comme j'ay acoustumé, et mieulx s'il m'est possible, vous suppliant qu'il vous plaise m'avoir tousjours pour recommandé et en vostre bonne grace, et en me commandant voz bons plaisirs pour les acomplir a mon povoir, a l'ayde de Nostre Seigneur, madame, a qui je prie qu'il vous doint bonne vye et longue et tousjours l'acomplissement de tout ce quevous desiréz. (0304, 56)
[8] J'ay receu la lettre qu'il vous a pleu m'escripre du xxe novembre, par lesquelles me merciéz de ce que je faiz pour les affaires de madame et encores de ce que je faiz pour vous. (0304, 58)
[9] Je vous mercye des lettres qu'il vous a pleu m'escripre par l'ambaxadeur de madame, qui s'en va devers le roy, et des bonnes parolles que par lui m'avéz mandeez, ausquelles je lui ay fait responce, comme par luy vous seréz adverty. (0304, 80)
[10] Je suis bien joieulx de quoy il a pleu a madame de vous mectre en l'office en quoy elle vous a mys, car il me semble que vous estes personnaige pour bien et sagement le savoir conduire, et quant il vous plaira en rens m'employer ou envers le roy ou ailleurs, combien que desja il soit bien informé de vostre personne, je m'y emploiray de tresbon cueur, et a Dieu, messire Berthelemy, a qui je prie qu'il vous doint tout ce que desiréz. (0304, 80)

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