[1] | Pour les pechez que tu as faitz, Sans en tenir longuement plaitz, Fault que tu voises a Boulongne, Et ne le tiens point pour mensongne, Ainçois qu'il soit deux jours passés. (C. Riffl., c.1480-1520, 61) | [2] | Donné en noz plaitz, tenuz audict Sainct Legier, le mardi vingtiesme jour du moys de juing, l'an de grace mil troys cens quatre vings et cinq. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 548) |
|
|