C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de pignon dans 7FMR 
12 attestations 
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[1] Hors d'Athenes en un quignon Demouroit ou n'avoit pignon. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 226)
[2] Le diemenche premier jour du mois et ouverture du pas, arriva ledit seigneur conte de Bouquincan le matin aprés la messe en tresbelle et grande compaignie, qui fist sur le hault pignon de son loigeis mectre sa baniere qu'il portoit d'Engleterre a une bordure d'argent, et crioit "Engleterre! (LA SALE, J.S., 1456, 176)
[3] Le IJe jour vint le conte mareschal,qui aussi fist mectre sa banniere sur le pignon en tresgrant estat, qui portoit d'Engleterre a IIJ lambeaux d'argent, et crioit "Engleterre! (LA SALE, J.S., 1456, 177)
[4]" et sa banniere sur le pignon, qui de la VIJe course, lui et son destrier furent portez par terre, dont par ainsin il paia le ruby. (LA SALE, J.S., 1456, 177)
[5] Pour ce, le jardin lui tranffaire Que maistre Pierre Bobignon M'arenta, en faisant reffaire L'uys et redrecier le pignon. ainsin il paia le ruby. (VILLON, Test. M., 1461-1462, 86)
[6] Et savez bien qu'il fault achapter deux beufs pour nostre mestoier de tel lieu, et encore chaist l'autre jour le pignon de nostre grange par faulte de couverture, qu'il fault reffaire la premiere chouse. (Quinze joies mar. R., c.1390-1410, 8)
[7] lui qui parle et ledit defunt, orent souppé en l'ostel d'icellui defunt, que l'en dit l'ostel des Corneilles, à Saint-Marcel, et que lui qui parle et ledit messire Jehan Chasteau et austres se furent partiz dudit hostel, et estoient en la rue, lui qui parle, son maistre,et un appellé Pignon, plastrier, et eulx là estans, virent venir Jehan Eutasse l'ainsné, qui sembloit avoir bien beu, et se adreça à lui qui parle et aus autres qui là estoient, et leur dist: Vous ne estes pas à si grant escole comme il y a dont je vieng. (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 411)
[8] le quel, de son bon gré, bonne volenté et certaine science, senz aucune fraude, force, erreur, contrainte ou decevance, pour son cleret evident proffit, recognut et confessa en la presence des diz jurez comme en jugement par devant nous lui avoir prins et retenu a droit crois de cenz ou rente annuel et perpetuel, desorendroit a touz jours perpetuelment et heritablement, pour lui, pour ses hoirs et pour ceuls qui de lui ont et auront cause ou temps a venir, de religieuses personnes et honnestes l'abbé et couvent de l'eglise monseigneur Saint Magloire de Paris, une maison ou a pluseurs ediffices, jardins et louages, si comme tout se comporte et extent de toutes pars, haut, bas, devant et derrieres, et en parfons, avecques touz leurs droiz, yssues, entrees, alees, veuez, aisemans, appartenances et appendences quelconques, que yceuls religieux avoient, seans a Paris, es rues de Bourc l'Abbé et de Dernetal, et qui jadiz furent Jehan le Barrillier et sa femme, jadiz barillier du roy nostre sire, la ditte maison ou est le grant pignon faisant le coing de la rue du Bourc l'Abbé et de la rue de Dernetal qui est a l'opposite de la Trinité de Paris et des murs d'icelle eglise de la Trinité, tenant, d'une part, par devers la rue du Bourc l'Abbé, a la maison qui jadiz fu Nicolas Rose Dieu, et, d'autre part, a la maison qui fu Guibout de l'Image, aboutissant par derriere au jardin qui fu Raoulant le Gaignier et a la maison qui fu feu Richart le Saunier et a la maison qui jadiz fu Jehan l'Anglais, regratier, et tenant le jardim de la ditte maison d'um costé au jardin qui fu du dit Raoulant le Gaingnier, tout en la censive et seigneurie des diz religieux de l'eglise Saint Magloire dessus dit, c'est assavoir ceste presente prinse et acensement faiz par ycellui Pierre des diz religieux pour et parmi la somme de huit livres par. tant pour fons de terre comme pour crois de cens ou rente annuel et perpetuel que pour toutes charges, servitutes et redevances quelconques le dit Pierre Bugadel, preneur dessus nommé, en est et sera tenus, promist et gaiga es mains des diz notaires jurez comme en la nostre, pour lui, pour ses hoirs et pour ceuls qui de lui ont et auront cause ou temps a venir, rendre et paier, chascum an doresenavant, a touz jours perpetuelment, egalment par les quatre termes en l'an generalment a Paris acoustumés, tant aux diz religieux et a leurs successeurs, pour et ou nom de la ditte eglise, comme aux censiers qui de raison y ont acoustumé d'ancienneté de y avoir, prendre et recevoir rente par an, a commencier a paier la ditte rente ou crois de cens a la feste saint Jehan Baptistre prochienne venant, en telle monnoie comme il courra, et anssi de terme en terme ensuivans a touz jours, a chascum terme quarente sols parisis de rente ou crois de cens, et pour et parmi soixante livres par. d'amendement que le dit Pierre, preneur, gaiga et promist loyalment es mains des diz jurez mettre, convertir et emploier en la ditte maison et sesappartenances et appendences quelconques par lui cy dessus prinse et acensee, dedans du jour d'ui en six ans prochiens venans, pour touz termes, respiz et delays, aux us et aux coustumes de la ville de Paris, c'est assavoir en chascune d'icelles annees dix livres par. de telle monnoie comme il courra, non obstant mutacion de monnoies, ordonnances royaulx ne autres choses a ce contraires, sanz ce que le dit preneur ou les ayans cause de lui puisse ou soit tenuz de charger, asservir, ne obliger la ditte maison ne ses appartenances et appendences de plus des dittes huit livres par. de crois de cenz ou rente dessus declarcies envers quelconques personnes ne pour quelconques causes, ou temps a venir ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 227)
[9] Et depuis, endroit la court dessus dicte, ledit Thierry a fait ediffier illec endroit une maison ou estables, et a osté ou fait oster l'agout cheant de la maison dudit Oudart en icelle court, et recouper les bous des chevrons de la maison dudit Oudart, et levé ung mur qui fait ung pignon en sa maison endroit ses estables ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 244)
[10] et aussy esconvient que il faceretraire son pignon qu'il a levé sur le mur dessus dit et qu'il le mette pardevers soy, pour ce qu'il n'avoit riens ou mur sur quoy il s'est hebergé, et toutes les choses dessus dictes aux coux et despens dudit Thierry, se ainsy n'est qu'il puisse monstrer que certaines lettres ou autre tiltre qui le vaille que ainsy ce doient demourer comme la chose est a present. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 244)

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