C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de peyne dans 7FMR 
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[1] Lors lui respondy le herault: " S'ilz se fussent tousjours tenu, Ainsi que vous, blanc, moyte et chault, L'onneur ne leur fust pas venu, Car on n'a jamaiz bien sans peyne; (CHART., D. Her., p.1415, 423)
[2] " Mectez dont peyne d'estre bon Et voz vaillans parens ensuyvre,Pour acquerir ce guerredon Qui aprés leur mort fait gens vivre. (CHART., D. Her., p.1415, 427)
[3] Se voyant, comme dit est, ce seigneur Ludovic si près de achever son desir, et qui estoit marié avecques la fille du duc de Ferrare, dont avoit plusieurs enffans, mettoit peyne de gaigner amys, tant en ladite duchié que hors d'Italie. (COMM., III, 1495-1498, 18)
[4] mais des choses de nostre court ne povoit avoir nulle congnoissance ne à grant peyne ceulx qui y estoient nourriz, tant y avoit de mutations. (COMM., III, 1495-1498, 55)
[5] et si est bien de noter que, ainsi comme les murs de la ville estoient tumbéz, ainsi tumba bien quinze brasses des avants-murs du chasteau Sainct-Angel, comme m'ont compté plusieurs, et entre aultres deux cardinaulx qui y estoient, qui misdrent grant peyne de mouvoir le roy à prendre cella pour miracle et faire prendre par force le pape, comme je diray après. (COMM., III, 1495-1498, 76)
[6] et, comme a dit ce pape Alexandre qui règne, les Françoys y sont alléz avecques des esperons de boys et de la craye en la main des fourriers pour marcherleurs logis, sans aultre peyne. (COMM., III, 1495-1498, 81)
[7] Par quoy conclud ce propos, disant, après l'avoir ouy dire à plusieurs bons hommes de religion et de saincte vie et à mainte aultre sorte de gens (qui est la voix de Dieu que la voix du peuple), que Nostre Seigneur les vouloit pugnir visiblement, et que chascun le congneüt, et par eulx donner exemple à tous roys et princes de bien vivre et selon ses commendemens: car ces seigneurs de la maison d'Arragon, dont je parle, perdirent honneur et royaulme et grant richesses et meubles de toutes natures, si departis que à grans peyne scet-l'on qu'ilz sont devenuz; (COMM., III, 1495-1498, 82)
[8] et il leur disoit qu'il prioit à Dieu qu'ilz ne veïssent jamais roy de France en Ytalie et qu'il y avoit veü seullement ung pouvre homme de la maison d'Anjou qui luy avoit faict sousfrir beaucoup de peyne, qui fut le duc Jehan, filz du roy Regnier. (COMM., III, 1495-1498, 83)
[9] Et je mis peyne que le cop fut rompu et y servis, comme bien scevent plusieurs de vostre nation. (0304, 172)
[10] et chascun mist peyne de gaigner la ville. (TRING., c.1477-1483, 278)

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