C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de peustes dans 7FMR 
6 attestations 
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[1] Glorieuse vierge pucelle, Qui en vous peustes comprendre Ce que les cieulx ne peuent prendre, Si com sapience eternelle Vous eslut mére paternelle Tresexcellente et souveraine, Qui seconde ne premeraine Pareille a vous onques n'eustes Ne n'arez (pour c'estes et fustes Appellée par verité Mére et fleur de virginité, Qui gloire est a tout paradis); (Mir. Oton, c.1370, 354)
[2]Dame, qui peustes comprendre Ce que ne peuent pas les cieulx, Chascun de nous est ententiex De voz grez faire. eslut mére paternelle Tresexcellente et souveraine, Qui seconde ne premeraine Pareille a vous onques n'eustes Ne n'arez (pour c'estes et fustes Appellée par verité Mére et fleur de virginité, Qui gloire est a tout paradis); (Mir. Oton, c.1370, 371)
[3]Glorieuse vierge pucelle, Dame des anges tresprisée Sur touz les sains auttorisée, Vaissiau du hault divin secré, Et temple de Dieu consacré, Qui peustes en vous comprendre Ce que les cieulx ne peuent prendre, Car la sapience eternelle Vous eslut mére paternelle Du Dieu de toute creature Et fist sanz euvre de nature, Vueille m'en pitié regarder, Tresoriére qui a garder As de grace la seigneurie. (Mir. st J. Paulu, c.1372, 138)
[4]Dame, qui peustes comprendre Ce que ne peuent pas les cieulx, Chascun de nous est ententiex De voz grez faire. Dieu consacré, Qui peustes en vous comprendre Ce que les cieulx ne peuent prendre, Car la sapience eternelle Vous eslut mére paternelle Du Dieu de toute creature Et fist sanz euvre de nature, Vueille m'en pitié regarder, Tresoriére qui a garder As de grace la seigneurie. (Mir. Clov., c.1381, 255)
[5] Mais la grant seduction que par vous luy fut faitte ne l'en peust oncquez desmouvoir qu'il n'alast vers vous soubz esperance de la fiance qu'il avoit en vous, non precogitant le dangier où il se mist d'estre entre voz mains, et ne luy en demoura que la paine et le traval d'y aller, dont la Bonté Infinie l'a preservé et gardé que ne peustes venir à voz fins, et fera encores, se Dieu plaist, et de voz malignes intencions oblicques et occultes. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 262)

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