[1] | Et te pardonne, et Dieux si face, tous courroux, ires et maltalens que tu peues avoir eux ou encourrous envers moy, par quelque [cause] ou raison que ce soit, de tout le temps passé jusques aujourd'uy. (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 272) | [2] | car tu peues bien savoir, à l'estat dont je suy et où je vois, je ne puis pas porter finence pour toy satiffier, toy et tous les autres qui sont en ceste alience. (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 473) |
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