C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de paye dans 7FMR 
5 attestations 
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[1] Pour quoy est [ce] que l'on la paye, Se n'est pour faire la bataille? (CHART., D. Her., p.1415, 432)
[2] Pour ce qu'a Dieu vorent semblables Estre, si devindrent deables Ceulx qui angelz souloient estre, Et ainsi paye Dieu celestre Les orgueilleux, quoy qu'il attende ! (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 135)
[3] Ja n'aroie tout assouvi, Se je vouloie tout escripre, Si me souffit, sanz plus, de dire Comment les plus grans seigneuries Vindrent et puis furent peries, Pour donner exemple comment Fortune change en un moment, Par quoy fier on ne s'i doit, Car plus paye qu'elle ne doit, Mais la paye souvent est dure, Tout couviengne il que l'en l'endure. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 190)
[4] Ja n'aroie tout assouvi, Se je vouloie tout escripre, Si me souffit, sanz plus, de dire Comment les plus grans seigneuries Vindrent et puis furent peries, Pour donner exemple comment Fortune change en un moment, Par quoy fier on ne s'i doit, Car plus paye qu'elle ne doit, Mais la paye souvent est dure, Tout couviengne il que l'en l'endure. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 190)
[5] Si me paye de moult souffrir, Ne je ne me puis tant offrir A servir et faire debvoir Que je puisse aulcun bien avoir, Car tout desrompt sa faulse brace Quanque bastis et quanque embrace, Mais a maint fait elle ce tour. (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 79)
[6] Mais quant est la paye, se aucune en doubtoit que quelque la mise fist au payement n'avoit quelconques faulte. aulcun bien avoir, Car tout desrompt sa faulse brace Quanque bastis et quanque embrace, Mais a maint fait elle ce tour. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 157)
[7]PARTIE III, CHAPITRE XXVIII - CY PARLE DES GRANS CHARGES ET AFFAIRES QUE LE DIT ROY CHARLES AVOIT EN FRAIS ET COMMENT NON OBSTANT CE TOUT SE FOURNISSOIT BEL ET BIEN EN PAYE ET DESPENSE (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 157)
[8]CY PARLE DES GRANS CHARGES ET AFFAIRES QUE LE DIT ROY CHARLES AVOIT EN FRAIS ET COMMENT NON OBSTANT CE TOUT SE FOURNISSOIT BEL ET BIEN EN PAYE ET DESPENSE. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 157)
[9] Les revenues de son royaume distribuoit sagement, dont l'une partie estoit appliquée pour la paye de ses gens d'armes et soustenir ses guerres,l'autre pour la despense de son hostel et estat de lui, de la royne et de ses nobles enfens grandement et largement soustenu, l'autre pour dons à ses freres et parens, dont continuelement avoit avec lui à grans pensions, et des barons et chevaliers estranges, qui venoient en France veoir sa magnificence, et ambassadeurs, à qui donnoit de riches dons, l'autre pour paier ses serviteurs, donner à eglises ou aumosnes, l'autre pour ses ediffices, dont il basti de moult beaulz et notables, chasteaulz et eglises. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 52)
[10]» Nostre roy, encore le feist-il envis, mandoit les plus riches de ses citoyens et subgiez et adonc tres debonnairement les requeroit de prest raisonnable, par si que il les assignoit de paiement sus ses receptes et revenues cleres et bien venans jusques à ffin de paye ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 70)

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