C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de passoit dans 7FMR 
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[1] Et en bruyant par la valeeUn petit ruisselet passoit, Qui le païs amoistissoit, Dont l'eaue n'estoit pas salee. (CHART., L. Dames, 1416, 199)
[2] Mais Desir passoit la raison, Qui souvent son regart menoit Tel foiz qu'il n'estoit pas saison. (CHART., B. Dame, 1424, 334)
[3] Alors avint tout d'aventure, Je ne sçay pour quelle aventure, Que le duc d'Athenes passoit Par celle part, et n'i pensoit ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 324)
[4] force et hardiece Avoit en lui sur tous les hommes, Fors Hector, qui en toutes sommes Passoit les bons, combien qu'aucuns Dient qu'auques furent comme uns De vaillance, mais nel croy pas, Car les histoires en tout pas Loent Hector en tous endrois, Non pas Achillés ; (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 76)
[5] Des Troyens furent les meilleurs : Hector et Troylus son frere, Qui du joenne aage dont il yere Passoit tous les Troyens, sanz faille, Fors Hector, en fait de bataille, Roy Mennon [et] Pollidamas, Qui par Grec oncques ne fu mas, Eneas et Deïphebus, Qui les testes dessus le bus Firent a maint Gregois voler ; (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 88)
[6] et ensement Mourut Dido, au cler visage, Qui tant ot esté preux et sage Qu'aultre dame ne la passoit ! (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 173)
[7]En ce temps, la mer estoit pleine De larrons, par quoy oultre, a peine, On passoit par la mer d'Auffrique Et par celle de Grece, si que Robez estoyent toutes gens, Qui par la mer fussent nagens. (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 17)
[8] Ne sembloit pas sire de regne, Car son cheval parmi la rene Luy faloit mener, tant estroit Sentier passoit seul et destroit. (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 19)
[9] quel tres grant ordonnance en toutes choses, quel pontificaleté, quel sens, quel gouvernement, quel representacion de prince, quel faconde, quelle eloquence et quelle redoubtée et reverent personne estoit cellui à veoir, qui heure ou temps ne passoit sans l'occupacion d'aucune bonne euvre, c'est assavoir ou vacquier en ce qui touchoit le bien de la chose publique, sur toute riens il avoit à cuer, ou au fait de l'eglise, ou à expedier estrangiers, ou fait de ses guerres, ou à quelque autre convenable occupacion. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 70)
[10] à l'issue de la chappelle, toutes manieres de gens, riches ou pouvres, dames ou damoiselles, femmes veusves ou autres, qui eussent affaire, povoient là baillier leurs requestes, et, ilz, tres debonnairement s'arrestoit à oïr leur supplicacions, desquelles passoit charitablement les raisonnables et piteuses ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 44)

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