C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de parts dans 7FMR 
7 attestations 
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[1] Les ligniez d'Israël prindrent leurs portions dez parts limitees; (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 172)
[2] L'acteur imbecille qui n'en pitié commença nagueres l'exclamacion premise, aprez avoir par curieuse actente veu et leu les haulx et treselegans escriptz, histoires alleguées et raisons remonstrées par maniere de response à ladite exclamacion, non pas voullant confuter lesdites raisons amenées par si hault engin, par si cler entendement, par si resonant tube d'eloquence, par si doulx et si florissant et joyeulx stille, deduites au propos contraire de l'acteur exclamant, non presumant aussi par folle arrogance replicquer et recalcitrer contre tel aiguillon, contre telle force invincible dedire, resister, mais seullement soustenant les parts d'iceulx ditz lamentables, faisans regretz à la descharge de celle qui par celle fortune s'est trouvée en ce dangier, remonstrer cy apres, soubz la correction et doulce supportacion du premier respondant, trois choses. (ROBERTET, Oeuvres Z., c.1450-1500, 154)
[3] Item, avecques ce, doivent estre garniz de certains hommes duitz et apriz de plunger en l'eaue et à longue alaine eulx y tenir, lesquieulx, tandiz que dure la bataille, voisent soubz l'eaue à bonnes grosses tarières percer la nef, si que l'eaue y entre de toutes parts. (BUEIL, II, 1461-1466, 59)
[4] En ce païs ne croist ne blez, ne vins, ne bois à cause des eaues, mais ilz ont assez blez et vins et bois à maisonner, et a faire, basteaulx par les rivières, qui en ce païs tumbent en mer et sont riches gens, pour lesgrans marchandises qui de toutes parts viennent en cedit païs par mer et par terre, et ont assez fromages et beurres de leur bestial, et sont tous gens de mer, et ont grans navieres bonnes et fortes et a grant foison. (6204, 106)
[5] Si marcha le duc plus avant en pays, et toujours luy venoient et croissoient gens de toutes parts, et venoient à luy tous les seigneurs et nobles hommes de ladicte duchié, qui tenoient places et seignories en hommaige de ladicte duchié, comme le Sangler d'Ardanne, nommé le Damoiseau, Jehan de la Marche et aultres grans personnaiges; (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 19)
[6] En ce temps le Roy Charles assembla son conseil pour regarder et avoir advis sur les gens d'armes, qui destruisoient son royaulme de toutes parts, et pour mectre lesdits gens d'armes en reigle et en ordre et les entretenir sans les perdre et eslongner de luy qui doubtoit moult. (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 61)
[7] Et, prestement que l'emprinse fut choisie, accoururent nobles de toutes parts devers le duc pour avoir congié de lever icelle emprinse; (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 81)
[8] et fist unesgracieuses lettres adressant à messire Jaques de Lalain, entrepreneur, luy confessant qu'il l'avoit veu par aucunes fois combatre en icelluy pas, et qu'il l'avoit veu en si chevaleureuse contenance, et avec tant d'adresse, de force et de vertu de chevalier, que luy, entrepreneur, garde et deffendeur d'icelluy noble pas, enluminoit et eslevoit si haut la renommée dudit pas, qu'il desiroit, sur tous les biens qu'il povoit jamais acquerir, donner confort à la dame de Plours, estre du très heureux nombre des combatans en ceste emprinse, et soy esprouver à l'encontre de luy, que l'on tenoit et reputoit en toutes parts chevalier tout rempli de vaillance, de vertu et de grace, luy requerant moult humblement qu'il luy donnast licence de povoir executer son emprinse; (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 174)
[9] Tous arbres sont en ce lieu verdoyants : Petits ruisseaux y furent ondoyants, Toujours faisant autour des prés herbus Un doux murmure : et quand le clair Phébus Avait droit là ses beaux rayons épars, Telle splendeur rendait de toutes parts, Ce lieu divin, qu'aux humains bien semblait Que terre au ciel de beauté ressemblait : Si que le coeur me dit par prévidence Celui manoir être la résidence De Ferme Amour, que je quérais alors. (R014, 97)
[10] Les cloches sont tambourins, et doucines Harpes, et luths, instruments gracieux, Hautbois, flageots, trompettes, et buccines Rendant un son si très solacieux, Qu'il n'est soudard, tant soit audacieux, Qui ne quittât lances, et braquemards, Et ne saillît hors du temple de Mars, Pour être moine au temple d'amourettes, Quand il orrait sonner de toutes parts Le carillon de cloches tant doucettes. (R014, 106)

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