| [1] | Partant est la repugnance l'avencement de ton merite, et ta nuisance le redoublement de ton louyer. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 34) | | [2] | et y vint le conte de Sainct Pol, connestable de France, à leur secours, partant de sa maison, et non pas par auctorité du roy ny avecques ses gens d'armes, mais amena de ceulx qu'il avoit amasséz ès marches de Picardye. (COMM., I, 1489-1491, 96) | | [3] | Partant de là, feïst compte tirer en Normandie. (COMM., I, 1489-1491, 234) | | [4] | Il feït de grandes diligences pour achever ceste entreprise d'Allemaigne, qui estoit, s'il eust prins Nuz, la garnir bien et une autre place ou deux au dessus de Coulongne, par quoy ladicte cité de Coulongne diroit le mot et que, partant, il monteroit contre mont le Ryn jusques en la conté de Ferrette, qu'il tenoit lors, et ainsi tout le Ryn seroit sien jusques en Hollande, où il y a plus de fortes villes et chasteaulx que en nul royaulme de la crestienté, si n'est en France. (COMM., II, 1489-1491, 6) | | [5] | Car ceste beneiçonpartant de la vraye bouche de Nostre Seigneur me semble estre plus loable et plus proffitable que nulle que je saiche, et pour ce la vous recommande au lever et au couchier de vostre lit. (LA SALE, J.S., 1456, 41) | | [6] | Encores voullons et ordonnons que, se aucunedes parties se departoit de nostre court apprès les gaiges gettez et receuz, sansnostre congiet, icellui partant voullons et ordonnons qu'il soit tenu etprononcié pour recreant et convaincu, et faicte la justice que le casrequiert, retenu nostre voullenté. (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 212) | | [7] | Et, premiers, ordonnons que l'appellant, sa visiere baissiee,tout a piet partant de son pavillon, armé de toutes ses armesdont il entend offendre et deffendre, acompaignié de sesconseilliers et gardes du champ seullement, alors se mettera a genoulz devant nous, et lasera la figure de nostre vray Saulveur Jhesucrist en croiz. (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 217) | | [8] | Et, partant, qui à vostre pourchas et instance, comme il appert, me treuve eslevé en siege à moy non decent et lequel, que plus est, me certiffie confusion, doy bien differer doncques de vous rescripre sur ce, quant je ne sçay à quel tiltre faire le peusse, bon ou autre souverainement, et de respondre à cellui dont voz lettres font mention que je le doy. (5425, 118) | | [9] | et partant, vous fuyant le destroit tel, suadoient qu'on peust couler la chose soubz honnorable moyen, lequel me imputoient. (5425, 130) | | [10] | Et, partant, George, qui affecte que là où sont esparses les superfluitez de la plume de Robertet, soient divulgueez aussy les reboutances que George y contre envoie par maniere de fuitte, icellui annunce par terres et regions final renuncement à l'amour de Robertet, et à tout son faire et escripre; (5425, 183) |
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Attestation de 