C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de paillard dans 7FMR 
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[1] Je comptay cecy au roy, qui me dist que c'estoit ung très mauvais paillard, et qu'il le failloit garder de parler. (COMM., II, 1489-1491, 70)
[2] Le paillard qu'il est trop se raulde De la finesse qu'ay apprise. (LA VIGNE, S.M., 1496, 288)
[3] pourtant, se j'advise Aulcun paillard garson sergent Qui me void ung baston portant Et me rencontrë en chemin, Je diray que suis pelerin. (Sots gard., a.1488, 107)
[4] Admenez le moy, le paillard. (Roy sotz, c.1450-1500, 221)
[5] Laquelle femme le print en son amour desordonnée et, pour l'entretenir, en vendit et engaiga de ses bagues et vaisselle de sondit mary, et si print aussy de l'argent de sondit mary larcineusement pour l'entretenement de sondit paillard. (ROYE, Chron. scand., II, 1460-1483, 115)
[6] Ils vinrent à mon logement : Lors se va dire un gros paillard, « Par la morbieu voilà Clément, Prenez-le, il a mangé le lard. (R014, 269)
[7] et comme furibond et hors de soy, commença à regarder par tout, puis finablement sous le lict de la duchesse,de là où il feist tirer son propre neveu, auquel, sans luy donner loisir de proferer un seul mot de peur que sa meschanceté fust descouverte, il dict : « Paillard detestable, tu es mort » ; (S181, 197)
[8] « Paillard, dist l'Espagnol, si j'avois aucune esperance de ton amendement, je donnerois volontiers dilation à ta vie ; (S181, 221)
[9] Ce pendant vint arriver Julian et entra en sa chambre pour esveiller son espouse, pensant qu'elle dormist encor, et luy, estimant que ce fussent de ses parens quelque paillard et adultere qui fust avec sa femme venu coucher ce pendant qu'il n'y estoit pas, tyra son espée secretement et son pere tua, ensemblement sa mere. (S182, 72)
[10]- O mauldict paillard, dist le chevalier, comment et par quellemaniere d'audace presumes tu te nommer empereur ? (S182, 157)

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