C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de paiens dans 7FMR 
54 attestations 
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[1] Car religion est de si grant excellence que, mesmez des temples des paiens efforcer, a Dieu souffert advenir punitions publiquez. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 61)
[2] Car foy crestienne t'a baillé provision de si haulte esperance que lez paienset les ydolatres n'y peurent attaindre. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 98)
[3] Infere de ce discours que, se lez paiens se donnoient lors la mort par folle esperance de gaignier renommee entre lez hommes ou pour eschever honte en vivant, tu qui as actaint la source de vraye esperance plus avant que eulx, ne doiz aprés eulx desirer vanité mondaine ne craindre la vilté de ceste vie,et n'as a prendre fourme d'onneur a leur exemple. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 99)
[4] Ainsi vindrent en usage les ydoles des paiens, et par commemoration de l'ydole de Belus furent nommeez leurs ymages: Bel, Bal, Belphegor, Baalim, Belzebuth, et depuis autres noms selon les sotes pensees de ceulx qui a telles fantasies s'abestirent. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 114)
[5] N'avons nous pas en escript que lez philosophes reprindrent lez paiens pour l'adoration dez ydoles. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 128)
[6] À nom Dieu, pour ce que on les nourrisoit en leur donnant cause d'estre telz par le tres grant conte que on tenoit des bons et le despris en quoy on avoit les non valables doncques, et quant tel faisoit estre bons et notablement moriginéz ceulx de lors mesmement qui paiens et sans loy estoient, est à presumer que trop mieux encores devroiment valoir et prouffiter en vertu les crestiens d'ores ausquelz faire le contraire certes est trop grant reproche. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 103)
[7] Et qu'il soit voir que sapience Eust la plus grant audience Es temps anciens des paiens, Vous le veez par les moiens Des histoires qui en appert Le dient, comme il y appert. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 228)
[8] Le Policratique le preuve, Et vecy comment il l'appreuve : Comme il fust ainsi, ce dit il, Que les paiens, la gent gentil, Tenissent que homs jeunes ne vieux, Sanz avoir le conseil des dieux, Ne deust faire nulle riens,Toutefois entr'eulx une riens Avoient que ilz honnouroient, Comme souvrain dieu l'aouroient Et com prince de toutes choses, Ou toutes bontez ot encloses. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 228)
[9] Celle des paiens d'aourer plusieurs dieux je donnay aux hommes de fol entendement et continuer leur fis par espace de moult long temps; (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 58)
[10] pour ce dy Que touz les diex paiens reny, Ne jamais je ne fineray Tant que du grant Basille aray Babtesme eu. long temps; (Mir. emp. Julien, 1351, 200)

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