C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de paiee dans 7FMR 
8 attestations 
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[1] Et Dieux scet qu'il est vray que tel me demandoit que le tesmoignage du papier des mises de mon mary comme d'un preudomme nya la debte du frauduleux comme paiee, et menteur de sa demande; (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 100)
[2] Car, comme a mon pooir tousjours estrivasse contre la bataille et luite de Fortune, me voiant moult dechoite de ma chevance, comme j'eusse cedules verifiees et passees par la chambre des comptes d'une somme d'argent qui encore deue estoit a mon feu mary a cause des gaiges de son dit office, empetray mandement du roy aux generaulx que de ce je fusse paiee. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 104)
[3] Cest anuy avec des autres ne me dura pas petit, ains y fus constant plus de l'espace de .VI. ans sur le pourchas non mie de moult grant somme qui par parties en telz travaulx et requestes de seigneurs, reservé le reste qui encore m'est deu, je fus paiee. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 106)
[4] Tenez ceste plaine aumosniere De monnoie et vous en aysiez, Que bien est raison qu'en soiez Tresbien paiee et largement, Quant nourrie diligemment L'avez et en bon point rendue. (Gris., 1395, 51)
[5] Et la roÿne Cleopatras sy envoya aussi aux dames et aux damoiselles qui a celle feste furent, riches joyaux, de quoy chascune se tint a bien paiee. (Bérinus, I, c.1350-1370, 189)
[6] et affermerent et distrent en bonne verité que, du propre conquest dudit Roullant, il avoient, tenoient et paisiblement posseoient deux maisons et un jardin assis entre deux, sicomme ycelles maisons et jardin se comportent et estendent de toutes pars, a toutes leurs appartenances et appendances, assises a Paris, l'une d'icelles et ledit jardin en la grant rue Saint Denys, oultre la porte, pres du poncel, tenant, d'une part, a Loys Preudomme, cordouanier, et, d'autre part, a la maison feu Guillaume le Deschaux, chargiez en dis soulz quatre deniers par. tant pour fons de terre comme de cres de cens ou de rente par an, et l'autre en la rue du Bourc l'Abbé, tenant, d'une part, a la maison Jehan Grascoillon et, d'autre part, a la maison Anfroy Patisy, aboutant parderreres audit jardin, et va l'en de l'une des dictes rues a l'autre par les dictes deux maisons et par ledit jardin, chargee en vint quatre soulz par. tant pour fons de terre comme de cres de cens ou de rente par an, tout tant seulement et sanz nulle autre charge, redevance ou rente pareille, tout ce en la censive Saint Magloire de Paris, et toute ladicte charge paiee par an a Saint Magloire. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 125)
[7] Laquelle maison, siconme elle se comporte, avec touz ses droiz, appartenances et appendances, ycelle Margeurite, de sa bone volenté, de sa certainne sciance, de sa pure et franche liberalité, sanz aucune fraude, force, erreur, lezion et dessevance, pour son cler et evidant proufit, siconme elle disoit, recongnut et confessa avoir vendu et par nom de pure, simple et parpetuel vente quité, cessé, trensporté, et du tout en tout delessié, desorendroit a touz jours parpetuelment et heritablement, a Nicolas Fyal, le Lorrain, ymagier, a Thiree, sa fame, de Thou en Lorrainne, a leurs hoirs et a ceux qui cause ont et auront d'eulz, pour le pris et pour la sonme de vint et deux lbr. par. de la monnoie courant a present qu'ele en confessa avoir eu et receudes diz acheuteurs en bons deniers comptans avant la confection de ces lettres, et s'an tint a bien paiee pardevant nous ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 153)
[8] les quiex mariez, de leurs bons gres, sans fraude, et pour leur cler et evident prouffit, recongnurent et confessierent par devant les diz jurez conme par devant nous en droit eulz avoir prins et retenu, chascun pour le tout, a droit cres de cens ou rente, pour eulz et leurs hoirs, desmaintenant a tous jours, de Jehan d'Arras dit de Beauffort, bourgois de Paris, et de Sedille, sa femme, une maison avec le jardin et plusieurs louages appartenans a ycelle, si conme tout se comporte et estent de toutes pars, avec touz ses drois, appartenances et appendances quelconques qui estoit des diz Jehan et sa femme, de leur conquest, seant a Paris, en la rue de Dernetal, tenant, d'une part, a Loys Bacheler et, d'autre part, a Pierre Vincent, aboutissant par derriere aus diz bailleurs, en la censsive de religieuses personnes et honnestes l'abbé et couvent de l'eglise Saint Magloire de Paris, c'est assavoir ceste presente prinse et adscenssement faiz pour et parmy soixante quatre soulz six deniers par. que de fons de terre que de cres de cens ou rente annuelle et perpetuelle, et demy corvee que pour toutes charges et redevances les diz Raoul et Ysabiau, sa femme, en sont, seront tenuz et promistrent, chascun pour le tout, rendre et paier doresenavant chascun an, c'est assavoir aus diz bailleurs et a leurs hoirs trente deux soulz par. de cres de cens ou rente parles quatre termes en l'an generalment a Paris acoustumez, et aus censsiers ou autres personnes a qui il appartient les autres trente deux soulz par. de cres de cens aus termes que en l'an il leur ont esté acoustumez de paier, et aus diz religieus les diz six deniers par. de fons de terre par an a la feste saint Remy, et la dite demy corvee par an a yceulx religieus deue et paiee en mars, et pour douze livr. par. d'amendement que les diz Raoul et sa fame, et chascun d'eulz pour le tout, gaigierent es mains des diz clers notairez jurez conme en la nostre, et promistrent loialment en bonne foy mettre, convertir et emploier en nom d'amendement et pour amendement en la dite maison et en ses appartenances, dedenz du jour de la feste saint Jehan Baptiste prochaine venant en six ans de lors prouchains enssuivans acompliz pour touz delaiz, a compter et mettre toutes les reparacions que ilz y mettront pour amendement ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 183)
[9] Lesquieux trente sept soulz et huit deniers par. de cres de cens ou rente par an dessus diz, prins et euz, comme dit est, es lieux et en la maniere ci dessus especifiez, la dite Emeline de Nevers recognut et confessa pardevant les diz notaires jurez tant comme en figure de jugement pardevant nous, de son bon gré, de sa bonne voulenté et certaine science, sanz force, fraude, erreur, contrainte ou decevance aucune, lui avoir vendu et par nom et tiltre de pure et perpetuelle vente ottroyé, quittié, cessié, mis, transporté et du tout en tout delaissié desorendroit a touz jours mais, perpetuelment et heritablement, a religieuse personne et honneste frere Pierres de Biauvez, grant prieur de l'eglise Saint Magloire de Paris, acheteur pour lui, pour ses hoirs et pour ceuls qui de lui auront cause, c'est assavoir ceste presente vente faite pour et parmi le pris et la somme de vint huit livres par., bonne et forte monnoye courant a present, que la dite venderresse en confessa avoir eu et receu dudit acheteur, et s'en tint a bien paiee pardevant les diz notaires jurez ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 207)
[10] Et les autres dix neuf livr. et trois soulz par. demourans de la dite sonme des soissante et une livr. par. dessus diz le dit Jehan promist et gaiga rendre et paier aus diz religieus ou au porteur de ces lettres pour eulz en cest maniere, c'est assavoir au jour de la feste saint Remy l'an soixante sept trente deux soulz par., a Noël enssuivant trente deux soulz par., a Pasques enssuivant trente deux soulz par., a la Saint Jehan Baptiste enssuivante trente deux soulz par., et a chascun des quatre termes a Paris acoustumez enssuivans trente deux soulz par., tant que toute la dite sonme de dix neuf livres trois soulz par. soit a plain paiee ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 325)

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