C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de ouyz dans 7FMR 
9 attestations 
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[1] Nostre roy, avant les avoir ouyz, tant en general que en particulier, mist grant peine à gaigner chascun d'eulx. (COMM., II, 1489-1491, 182)
[2] Nostre roy, avant les avoir ouyz, tant en general que en particulier, mist grant peine à gaigner chascun d'eulx. (COMM., II, 1489-1491, 182)
[3] et envoyrez encore cent hommes plus prez que vous, si vous le pouvez faire sans qu'ilz soient ouyz. (BUEIL, II, 1461-1466, 125)
[4] et, quant il fut à la ville, il dist au cappitaine de Crathor: " Cappitaine, j'ay myz les gens de pié auxchamps si celéement que je croy que nul ne les a veuz ne ouyz. (BUEIL, II, 1461-1466, 126)
[5] Après les presentacions de ces douze vertuz, faictes par Grace Dieu à mondit seigneur, et necessaires à la perfection de son emprinse, quant les noms et leurs briefz furent leuz, veuz et ouyz en plaine salle et en commune audience, atant elle, comme ayant sa charge parfournie et son oeuvre parachevé, d'illecques se voulut retraire. (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 377)
[6]Et les charges donnees aux prelats ilz requirent d'estre ouyz, et le furent bien au lonc, et respondirent le esleu en arcevesque de Sens et l'evesque d'Autun; (JUV. URS., Verba, 1452, 360)
[7] NEZ du pays d'Alemaigne, ouyz et examinez sur les quarreaux, ou Chastellet de Paris, le jeudi XXVJe jour de may mil CCCIIIJxx et dix, par maistre Jehan Truquan,lieutenant de mons. le prevost, presens maistres Dreux d'Ars, auditeur; (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 137)
[8] Lesquieulx oppinions ouyz, et veu ce present procès, ledit Colin fu par ledit mons. le prevost condempné à estre pendu. (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 353)
[9] Ausquels frere Laurens, apres les avoir ouyz en confession, dist à Julliette : « Ma fille, selon que Rhomeo (que voicy present) m'a recité, vous estes accordée avecques luy de le prendre pour mary, et luy semblablement vous pour son espouse ; (S181, 78)
[10] Le conseil assemblé et les tesmoings ouyz d'une part et d'autre, il leur fut fait un estroict commandement par ledict seigneur de poser les armes. (S181, 85)

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