C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de ouvrit dans 7FMR 
24 attestations 
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[1] Car j'avoye tourné ma face, et ma fantasie fichee vers ces troys monstres, jucquez a ce que Entendement se retrait vers la partie de ma memoire, et ouvrit a grant effors pour donner plus grant clarté ung petit guichet dont les varroux estoient compressés du rooil de oubliance. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 23)
[2] Et, oultre, luy ouvrit ung party nouveau, qui estoit qu'ilz se asseürassentbien l'ung de l'autre de ne faire paix ny trève l'ung sans l'autre et que l'empereur print toutes les seigneuries que ledict duc tenoit de l'empire et qui, par raison, en devoyent estre tenues et qu'il les feïst declairéz confisquées à luy et que le roy prendroit celles qui estoient tenues de la couronne, comme Flandres, Artoys, Bourgongne, et plusieurs autres. (COMM., II, 1489-1491, 19)
[3] Leur parlement encommancé, fut ledict duc de Bourgongne semont tellement, ou par envie de soy humilier devant le roy, qu'il ouvrit de son costé et on luy ouvrit de l'autre, et passa luy quatriesme. (COMM., II, 1489-1491, 62)
[4] Leur parlement encommancé, fut ledict duc de Bourgongne semont tellement, ou par envie de soy humilier devant le roy, qu'il ouvrit de son costé et on luy ouvrit de l'autre, et passa luy quatriesme. (COMM., II, 1489-1491, 62)
[5] On luy ouvrit. (COMM., II, 1489-1491, 159)
[6] On luy ouvrit. (COMM., II, 1489-1491, 159)
[7] -- De Sainct-Germain alla le roy àMinganno et à Tranno et tout ouvrit. (COMM., III, 1495-1498, 93)
[8] de Bethencourt ouvrit à deulx maine sa pourtrine et dit à son frere: - Tieng, mon frere, frappe la; (6206, 359)
[9] Et puis ledit seigneur de Bourbon appella à part ledit seigneur de Charlus et luy dist qu'il fist entrer ledit Voyau en la chambre, ce qu'il fist, et luy demanda les lettres, et, quant il les eut, il les presenta à mondit seigneur de Bourbon et les bailla au duc de Bourgoigne, son oncle, lequel les print et les ouvrit, et en les lysant se seignoit, et demanda à Mons. de Bourbon qui les avoit apportées, et il luy dist que ç'avoit esté ung des gentilzhommes dudit conte, lequel il fist appeller. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 153)
[10] Et ne furent guerez là que Jehan de Harmes, qui estoit natif de Beauvoys, qui estoit bon, hardi homme d'armes, autant que nul pour ce temps se peust trouver, lequel ouvrit une grande verriere; (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 172)

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