| [1] | L'aultre bras avoit elle tout delivre et descouvert, dont elle tenoit unes tables ouvertes, en quoy elle lisoit et ramentevoit les ingratitudes, lez faultes et les injures que on lui avoit faittez. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 6) | | [2] | adont, ont li portier Les portes ouvertes ; (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 154) | | [3] | si luy ont ouvertes Les portes ; (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 14) | | [4] | Ceste proposicion poursuivir contre cruaulté où elle seroit pour ce que es consaulx des princes selon les matieres ouvertes de divers cas sont maintes opinions divulguées, aucune foiz contraires ou moult differenciées l'une de l'autre, chascun au mieulx selon son avis. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 93) | | [5] | par quoy comme ou moys d'aoust, l'an dessus dit .LXXVIII., lui fussent envoyés de par les cardinaulx certains messages, comme l'evesque de Famagoste et autres religieux maistres en theologie, avecques lettres closes et ouvertes de par le coliege des cardinaulx seelées de leurs seaulx, affermans et certifians le dit Barthelmi non estre pape, mais avoir esté faite la nominacion par oppressée violence, comme il pourroit estre certefié par les diz messages porteurs des lettres, adonc le sage roy, pour avoir regart et advis bien au vray sur ceste chose, manda prelaz, arcevesques et evesques de son royaume, et tous les souverains clers, maistres en theologie et aultres docteurs pris es Universitésde Paris, d'Orliens, d'Angiers et autre part, partout où il les pot sçavoir, et assembler les fist. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 141) | | [6] | Et du costé du roy en furent ouvertes quelques parolles par gens qui s'adressoient à ceulx qui estoient ennemys dudict connestable, estans au service dudict duc. (COMM., I, 1489-1491, 244) | | [7] | Et y avoit beaucoup gens qui avoient les oreilles bien ouvertes pour les ouyr le premier et les luy aller dire, car il donnoit voluntiers quelque chose à celuy qui premier luy apportoit quelques grans nouvelles sans oublier le messaiger. (COMM., II, 1489-1491, 158) | | [8] | Et y avoit beaucoup gens qui avoient les oreilles bien ouvertes pour les ouyr le premier et les luy aller dire, car il donnoit voluntiers quelque chose à celuy qui premier luy apportoit quelques grans nouvelles sans oublier le messaiger. (COMM., II, 1489-1491, 158) | | [9] | Et quant elles seront ouvertes, Deux fermaulx d'or qui fermeront, Qu'adonques ceuls qui les verront Puissent par tout dire et compter Qu'om ne puet plus belles porter. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 46) | | [10] | Lors le roy commanda lui faire ouvrir la porte des lices pour soy retraire en son pavillon, et quant les portes furent ouvertes et Saintré desmarcha pour entrer dedens, de sa bannerolle qu'il tenoit fist un tresgrant signe de la croiz, puis la baisa et en son pavillon entra; (LA SALE, J.S., 1456, 124) |
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Attestation de 