C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de ourent dans 7FMR 
2 attestations 
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[1] Quant Ligurgus et Phoroneus ou temps dez Grecs, et depuis Justinien et lez aultres empereurs romains ourent establi lez loys, ilz reserverent aux princes le povoir de les interpreter et soustenir. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 74)
[2] Et celx qui se peinent de traire Les ames qui illec labourent, Qui donnent aumosnes et ourent Que Dieu les mette en son repeire,Ilz trouveront Dieu debonneire, Et non mie tant seulement Pour estre leur deffendement Du peril de la mort seconde, Mais uncor avec en cest monde Donne Dieu par benignité A ceulx qui font tel charité Aucune foiz grace et victore. (Tomb. Chartr. Trois contes S., c.1337-1339, 73)
[3] A tous savoir faisons que aprés ce que Yzabel de Saint-Martin, soy portante comme deguerpie de feu Jean de Bethencourt, jadis chevalier, d'une part, et Regnault des Yslez, chevalier, bailli de Caux, et Rogier Ravin son lieutenant, et Jehanne de Saint-Martin, dame de Houdetot, et Thomas de Monchy, chevalier, et Jean Seguent à cause de Aude de Saint-Martin sa femme, en tant que à chacun touchoit, d'autre part, sur le fait d'une douleance que avoit prise et portoit icelle soy disant deguerpie du dit feu de Bethencourt, et que par l'ordinaire du dit chevalier icelles parties ont esté appellées à l'audience des causes du bailliage de Caux, et que la dite dame de Houdetot et le dit de Mouchy et attourné de sa dicte femme se furent chargés du fait du dit bailli de Caux et de feu Guillaume Savari, jadis bailli de Eu, et que la declaration des griefz d'ycelle soy disant deguerpie du dit de Betencourt, elle ou dit entre les autres choses que en partage et loties faisant de la succession escheue à ycelles femmes de la mort de feu Jean de Saint-Martin, chevalier, jadis leur pere, elle avoit esté fraudée et deceue et n'avoient pas icelles loties esté faictes deuement ne coustumierement, et anxi avoit esté grevée en l'adjudication et proisie des levées des dictes lotties et ou vivre en quoy avoit esté condempnée icelle soy disant deguerpie du dit Jehan de Bethencourt, et que plusieurs parolles ourent sur ce este dictes entr'eulx; (6205, 325)
[4] mais au passer de l'ille de Re ilz ourent vent contraire et adresserent leur voye en Espaigne et ariverent au port de Vivieres; (6206, 19)
[5] Mais ilz ourent vent contraire et grant tourment et leur convynt tenir le chemin de l'isle de Fer et y arriverent de jours et prindrent terre. (6206, 155)
[6] La mercis Dieu, quelque chose qui nous ficent, il n'ourent nul de nous. (6206, 271)

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