C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de oit dans 7FMR 
59 attestations 
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[1]) Ceste derreniere pierre dicte, A qui loz doit appartenir, Donne vertu de retenir Ce que l'en oit et sent et voit, Et tout ce que le cuer conçoit, Aussi a elle nom Retentive. (CHR. PIZ., M.F., I, 1400-1403, 28)
[2] Et sachez que par elle Anglois Seront mis jus sans relever, Car Dieu le veult, qui oit les voiz Des bons qu'ilz ont voulu grever! (CHR. PIZ., J. d'Arc, 1429, 36)
[3] Et quant femme oit sa beauté dire, Lors rogist, lors taint, lors fremie, Et fait le tour de l'escremie, Et se consent comme une beste A l'ort pechié, vil, deshonneste, Et se melle comme uns pourceaux Avec cellui, avecques ceaux Qui l'empruntent a son mari, Qui depuis a le cuer mari Et vit en crueuse bataille Pour la grant lesse qu'il lui baille, Car puis qu'elle change une foys, Son lit certes ne deux ne trois A homme ne refusera, Et ainsis honnie sera; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 57)
[4] Elle voit, elle oit ce qu'om dit; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 59)
[5] Tu ne la dois jamais reprandre, S'elle va aux nopces et corps, Car on y fait de beaus recors, Et oit on mainte bonne chose. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 109)
[6] or oit les sains Sonner en aucune chapelle; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 119)
[7] " Puis le desvelope et l'espent Par l'ostel devant son mary, Qui est a la moité guari, Quant il oit ainsy sa deffense, Et bien en son cuer se pourpense Que mal fait quant ainsi la blame. Avec cellui, avecques ceaux Qui l'empruntent a son mari, Qui depuis a le cuer mari Et vit en crueuse bataille Pour la grant lesse qu'il lui baille, Car puis qu'elle change une foys, Son lit certes ne deux ne trois A homme ne refusera, Et ainsis honnie sera; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 121)
[8] Et si bien lui en souvenra Que jamais ne l'oubliera, Mais lui reprouchera toudis Le default, et encor vous dis Que se son mari la laidange, Pour ce qu'il se doubte qu'au change Ne voit trop souvent ou dehors, Et pour ce qu'il oit les rappors Qui ne lui sont pas agreableDe sa femme, mais reprouchable, Et que trop souvent va en ville, Elle respont: " Li cent et mille Dyables d'enfer y aient part! (DESCH., M.M., c.1385-1403, 128)
[9] Qui pense a chose espiritele, Il oit, l'entencion est tele, En attendant, ce qu'il quiert voit, En entendant mangue et boit, En delittent ce qu'il a quis Les biens touche par lui requis En contemplacion divine, Esperitelz, quant il est digne De les requerir et avoir. Qui ne lui sont pas agreableDe sa femme, mais reprouchable, Et que trop souvent va en ville, Elle respont: " Li cent et mille Dyables d'enfer y aient part! (DESCH., M.M., c.1385-1403, 244)
[10] De tant que plus y a riote Et qu'om l'oit plus en mi la rue, La feste en est meilleur tenue. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 284)

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