C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de nouviau dans 7FMR 
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[1] Mais je qui sui leur droite mere Leur doing une clarté si clere, Si a point, si bien ordenée, Que la racine qui entée Est dedens leur cuer d'amours germe Fleur, fueille, fruit et nouviau germe, Et les fais plus cointes vint tans Que la terre n'est au printemps. (MACH., R. Fort., c.1341, 81)
[2]Preudomme, si vous aist Dieux, Est ce a vous, ne me mentez mie, Que la doulce vierge Marie A hui pour norrir apporté Un petit enfant nouviau né? (Mir. abbeesse, 1340, 99)
[3] Mais il fault que vous me portez Come evesque nouviau sacrez Jusqu'au moustier. la doulce vierge Marie A hui pour norrir apporté Un petit enfant nouviau né? (Mir. ev. arced., c.1341, 127)
[4]De maistre d'ostel n'avez point, Sire: un nouviau vous en fault faire Barlaam vous ne vostre affaire Petit mais prise. apporté Un petit enfant nouviau né? (Mir. Barl. Josaph., c.1363, 250)
[5] Mais, s'il me croit, miex le fera: Car les nobles assemblera De ce pais cy a sa feste, Si la face bonne et honneste Conme nouviau roy: bien le vueil, Et pour son honneur li conseil, Et pour son bien aussi li moustre. (Mir. Oton, c.1370, 337)
[6] que de ce nouviau lignage Puist il estre courte durée! (Mir. fille roy Hongrie, c.1371, 45)
[7]Seigneurs, vezci vertuz trop grans, Qu'un enfant nouviau né parole Et non mie de chose fole, Mais requiert pour son sauvement A avoir saint baptisement. (Mir. st J. Paulu, c.1372, 132)
[8] «Ploie dont iceulx des leur enfance», car cellui tendre eage puet on ploier comme chire molle ou comme ung rainseau nouviau. (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 9)
[9] Donné a Paris, souz nostre nouviau seel, en l'abscence du nostre grant, le XXVIIIe jour de juing, l'an de grace mil trois cens et quarante. le vueil, Et pour son honneur li conseil, Et pour son bien aussi li moustre. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 97)
[10] Contre lequel prieur le dit Perrin, ou nom des dis religieux de Saint Magloire, fist une complainte en cas de nouvelleté sur nouviau trouble et empeschement de saisine, en faisant ostencion des dittes lettres royaulx qui la furent leues, et aussi furent leues les lettres de sauvegarde d'iceulx religieux par lesquelles je sui sic establi leur gardian ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 403)

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