C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de nouvellez dans 7FMR 
17 attestations 
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[1] Assés devoit estre assouvie ta desordonnance d'avoir plusieurs femmez sans avoir establi les repudier a quelconque cause, pour rempler lez delitz dez femmez nouvellez. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 124)
[2] Des nouvellez de decha, on dit que nous avonz trois rois, noz voisins, que nos menasent. (0304, 142)
[3]Sire, sachiez que vous orrez Nouvellez de moy bien matin, Et du premier jusqu'en la fin De leur parler, n'en doubtez point, Sarez le voir de point en point, Telle est m'entente. (Mir. fille roy, c.1379, 90)
[4] S'il vous viennent raporter Nouvellez, pensez qu'il mentent, Mon cueur, [pour vous en garder, De mez yeulx qui tant vous temptent. (CH. D'ORLÉANS, Rond. C., 1443-1460, 343)
[5] Aussi le dit seigneur rescrisoit fort souvent, parquoy on avoit tousjours des nouvellez. (6206, 297)
[6] Mons. le grant maistre, faictes moy tousjours savoir des nouvellez qui seurviendront. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 211)
[7] et, si en chemin j'ay nouvellez que lesditz Bourguignons s'en soient partiz, incontinant contremanderay vosditz gens et les autres aussi, et leur feray scavoir. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 253)
[8] Pour fere que lez neffez et lez pesches soient comme bonnes espices ou menger et que on les puisse garder jusques au nouvellez, entez en franc murier, comme dessus est dit. (Hent. soutill. L., c.1466, 85)
[9] Et renonça en ce fait ycellui Yonnet, par ses diz foiz et serement, a toutes excepcions de fait et de droit, a ce qu'il ne autres pour luy puissent dire ou faire dire, proposer ou alleguer qu'il ait esté deceupz en cest accort oultre la moitié de juste prix ou autrement conment que ce soit, a toutes graces, respis et indulgences de pappe, de roy et de quelconques autres princes, donneez ou a donner, octroieez ou a octroier, a la dispensacion et absolucion de son prelat, et autres dilacions de cinq ans plus ou moins, impectreez ou a impectrer, a toutes fraudes, barres, baraz, faveurs, cautelles, malices, tricheries, engins, allegacions, cavillacions et defenses, a tout aide de droit canon, civil, escript et non escript, a tous us, coustumes de liex et de païs, a toutes constitucions, viez et nouvellez, ad ce qu'il ne autre pour lui puissent dire ou faire dire, proposer ou alleguer autre chose avoir esté escripte que accordee ou accordee que escripte, a la copie de ces lettres, a touz previleges, et au benefice de court et de croix prinse et a prendre especialment aux choses dessus dites, et generalment a tout ce, tant de fait conme de droit, de us, de coustume, qui aider et valoir lui pourroient a venir ou faire venir contre la teneur de ces lettres, soit en tout ou en partie, au droit disant general renonciacion non valoir, en la quelle general renonciacion devant dite, ycellui Yonnet, escuier, voult, consenti et de sa certaine science expresseement accorda que toutes renonciacions espaciaulx y feussent comprinses et entendues, tout aussi conme se elles fussent en ces presentes lettres especiffieez et comprinses de mot a mot, nonmeez et escriptes par mos exprés, non contrestant droit, loy, us ou coustumecontraires ad ce. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 513)

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