C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de no dans 7FMR 
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[1] Si vous diray de celle marche, Ou temps Ysaac, le patriarche, Qui fu filz Abraham no pere, Et qui puis .II. filz d'une mere A une ventree a eü, (Ce fu : Jacob et Esaü) A son vivant, si com j'entens, Et ja ot Ysaac .L. ans, Que premierement commença Cestui regne, qui puis en ça Trop grandement est acreü, Combien que maint maulx ayt eü. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 276)
[2] Mais je voy bien a quoy il tient: Vous regardez, quant elle vient, No voisine, bien m'en perçoy, Car vous n'avez cure de moy; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 55)
[3] Vous jouez a no chamberiere: Quant du marchié venis arriere, L'autre jour, que li apportas? (DESCH., M.M., c.1385-1403, 55)
[4] Mais, las chetifs, nous nous dolons S'après la mort enfans n'avons, Qui nous puissent representer Et nostre nom puissent porter, Ou garder en no maladie; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 81)
[5]Quoy gaingné, s'ilz portent no nom? (DESCH., M.M., c.1385-1403, 82)
[6] -- Huchez no voisine, Qu'elle doit mieux devant offrir. enfans n'avons, Qui nous puissent representer Et nostre nom puissent porter, Ou garder en no maladie; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 109)
[7] Et souspirez parfondement: Nous ferons le villain dolent Tant qu'il souffera no voloir Et le ferons souvent doloir. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 123)
[8] Et que chascun de nous arrouse Son front de larmes et de plours En regehissant noz errours De cuer contrict, d'amere bouche, Et que tel pechié ne nous touche, Que ne soions jour de no vie En tel doleur n'en tel envie Comme nous avons tant esté! (DESCH., M.M., c.1385-1403, 173)
[9] Exemple en avons et figure D'un oisel de douce nature Qui hupe a nom en no langaige, Dont ly poucin ont tel usaige Que, quant pere et mere envieillissent Et que les oeulx leur oscurcissent Tant qu'ilz ne puelent plus voler, Lors les font leurs poucins aler En creux d'arbres en secrez lieux, Et ainsi pourvoient aux vieux; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 210)
[10] Mais cilz qui tant a de pité Nous en a depuis rachaté Par le saint sanc, qui de la vaine De son corps, et par mort humaine Que soufrir voult, nous delivra Par vraie amour qui l'enyvra Et qui le contraint a ce faire Pour nous et no vie refaire. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 227)

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