C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de necte dans 7FMR 
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[1] Ne pense poinct qu'en rien soit dissolue Nostre grant loy ne d'aulcun cas polue, Ains est du tout necte et puriffïee. (LA VIGNE, S.M., 1496, 144)
[2] Mon filz, nocte ce que je dis Et a comprendre ne desdis Qu'en une vierge necte et pure Il descendit de paradis Et fut fait homme sans ordure, Pour reparer la grant laidure De l'offence dessus predicte, Ou, la bas, humayne natureA jamais estoit interdite. (LA VIGNE, S.M., 1496, 150)
[3] Et ceulx qui seront espancheurs De ta parolle pure et necte Me prandront comme les pescheurs Font le poisson a la lignecte. (LA VIGNE, S.M., 1496, 152)
[4] Esprouver veulx ma dague neufve, Neufve et entiere, sayne et necte. (LA VIGNE, S.M., 1496, 182)
[5] Messieurs, je vous veulx adviser C'on m'aporte un petit d'eau necte. (LA VIGNE, S.M., 1496, 384)
[6] Pour quoy je te suis venu voir D'amour parfaicte et singuliere,Car m'amour est particuliere En toy plus qu'en tous ceulx du monde, Pour ce que vie reguliere Tu mayne pure, necte et munde. (LA VIGNE, S.M., 1496, 539)
[7] Quant au regard de sa corpulence et excellente stature, elle estoit formee d'une taille la plus parfaicte du monde, haulte par raison, droicte comme un jonc, tendre comme rosee et necte comme une perle ; (LA VIGNE, Ress. chrest. B., 1494, 114)
[8] Laquelle par la grace de Dieu de jour en jour fleurissoit, multiplioit, croissoit, augmentoit et appendoit ses branches deça et dela, en long, en large et en travers plus que n'avoit faict depuis le temps du noble roy Clovys, qui par permission divine fut le premier cultiveur du courtillage d'icelle fleur du lix, qui estoit belle, blanche, fresche, tendre et necte, sans fraction ne brisure aulcune, ne sans estre tachee, maculee, ne souillee en rien du monde. (LA VIGNE, Ress. chrest. B., 1494, 114)
[9] En tant que leur voulés complaire Devés tenir necte la place, Et en jouant de passe passe Rasibus d'ung gentil cotel Abactre jus ce pauletel Qui est ainsi pellu que ung ours. (Barbes brayes A., a.1450, 256)
[10]Filz de Dieu est, en verité, En humanité pure et necte! Et en jouant de passe passe Rasibus d'ung gentil cotel Abactre jus ce pauletel Qui est ainsi pellu que ung ours. (Pass. Auv., 1477, 132)

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