C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de ne dans 7FMR 
3 attestations 
 Page /1 

[1] Ainsi divise ses graces merveilleusement selon la diversité des personnes, des lieux et des temps, et, comme maistre seigneur, mue, croist et amendrist, fait et deffait en ses oeuvres selon sa tresraisonnable voulenté que nul ne puet decevoir. (CHART., Q. inv., 1422, 2)
[2] Et lui, qui est infiny en hault povoir, met commencement, moyen, et fin en toutes ses oevres soubz le mouvement des cieulx, comme le potier qui a tour de sa roe fait d'une mesme masse divers pots de differentes façons et grandeurs, et les grans decasse et derompt, se bien ne lui plaisent, pour en faire des petiz, et de la matiere des mendres refait il les plus grans. (CHART., Q. inv., 1422, 2)
[3] Lacedemone, par qui les lois vindrent a diverses nacions desquelles encores nous usons, ne pout oncques tant estroictement garder les lois de Ligurgus le droicturier, qui furent faictes pour sa perpetuation, que sa vertu ne soit estaincte et aneantie. (CHART., Q. inv., 1422, 3)
[4] Lacedemone, par qui les lois vindrent a diverses nacions desquelles encores nous usons, ne pout oncques tant estroictement garder les lois de Ligurgus le droicturier, qui furent faictes pour sa perpetuation, que sa vertu ne soit estaincte et aneantie. (CHART., Q. inv., 1422, 3)
[5] Et pour ce que les jugemens de Dieu, sans qui riens ne se fait, sont une abisme parfonde ou nul entendement humain ne sceit prendre fons et que noz sens sont trop foibles, noz ans trop cours et noz affections trop fraelles à les comprendre, nous imputons a Fortune, qui est chose faincte et vaine et ne se peut revencher, la juste venjance que Dieu prent de noz faultes, laquelle, ainsi que dit Vallere, vient bien a tart, mais la longue attente est recompensee par aggravement de peine. (CHART., Q. inv., 1422, 4)
[6] Et pour ce que les jugemens de Dieu, sans qui riens ne se fait, sont une abisme parfonde ou nul entendement humain ne sceit prendre fons et que noz sens sont trop foibles, noz ans trop cours et noz affections trop fraelles à les comprendre, nous imputons a Fortune, qui est chose faincte et vaine et ne se peut revencher, la juste venjance que Dieu prent de noz faultes, laquelle, ainsi que dit Vallere, vient bien a tart, mais la longue attente est recompensee par aggravement de peine. (CHART., Q. inv., 1422, 4)
[7] Et pour ce que les jugemens de Dieu, sans qui riens ne se fait, sont une abisme parfonde ou nul entendement humain ne sceit prendre fons et que noz sens sont trop foibles, noz ans trop cours et noz affections trop fraelles à les comprendre, nous imputons a Fortune, qui est chose faincte et vaine et ne se peut revencher, la juste venjance que Dieu prent de noz faultes, laquelle, ainsi que dit Vallere, vient bien a tart, mais la longue attente est recompensee par aggravement de peine. (CHART., Q. inv., 1422, 4)
[8] Et qui plus avant en veult entendre lise le chapitre qui est parole de Dieu, ou la langue ne la plume de homme mortel ne peut actaindre. (CHART., Q. inv., 1422, 5)
[9] Et qui plus avant en veult entendre lise le chapitre qui est parole de Dieu, ou la langue ne la plume de homme mortel ne peut actaindre. (CHART., Q. inv., 1422, 5)
[10] Si ne vueille aucun lire l'une partie sans l'autre, afin que l'en ne cuide que tout le blasme soit mis sur ung estat. (CHART., Q. inv., 1422, 5)

Fermer la fenêtre