C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de my dans 7FMR 
324 attestations 
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[1] Ou my lieu se monstroient entaillees lectres, caratheres et figures de diverses sciences qui esclarcissoyent les entendemens et adreçoyent les oeuvres des homes. (CHART., Q. inv., 1422, 7)
[2] Haa, cuer de tresloyal amy, J'ay eu par toy et tu par my Tant de plaisir! (CHART., L. Dames, 1416, 214)
[3] Une estraite porte a en my Le mur, si basse que gemy,Plaing et plouré au trespasser Ont maint, pour l'orreur d'i passer, Car il n'est nul passage brief, Qui soit au trespasser si grief, Et, se le lieu est bien terrible, Portiere y a aussi orrible, Car oncques mais, ce n'est pas fable, Ne fu riens plus espouantable A veoir, ne dont creature Eust si grant orreur par nature. (CHR. PIZ., M.F., I, 1400-1403, 102)
[4] Non mie a toy apertient estre ou nombre de ceulx qui en my chemin sont trouvéz recreans. (CHR. PIZ., Trois vertus W.H., c.1405, 8)
[5] Hey my, c'est d'umaine nature, En qui je voy tant de deffaulz Que dueil ay de tel nourriture Avoir fait, ou vices si faulx Habitent qu'ilz n'ont foy aucune Entr'eulx, aincois s'entretraissent, Detraient et portent rancune Et mortellement s'envaissent. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 114)
[6] Assez de foys furent assembléz sans riens faire, et cependant duroit la trefve et s'entrevoyoient beaucoup de gens des deux armées, ung grant fossé entre deux, qui est comme my chemin, les ungs de l'un costé, les autres de l'autre; (COMM., I, 1489-1491, 65)
[7] Et, affin que mieulx fust informé de toutes ces choses, s'il vouloit donner ung sauf-conduyt pour le nombre de cent chevaulx, que le roy envoyeroit devers luy embassadeurs bien informéz de son vouloir, ou, si le roy d'Angleterre aymoit myeulx que ce fust en quelque village à my chemin des deux armées et que là se trouvassent gens des deux costéz, que le roy en seroit très content et envoyeroit sauf-conduyt de son costé. (COMM., II, 1489-1491, 44)
[8] Le roy eut nouvelles dudict chancellier, qui disoient que le roy envoyast de ses gens à ung pont à my chemin d'Avesnes et de Vervins et que luy et ses compaignons se y trouveroient. (COMM., II, 1489-1491, 78)
[9] Et de Capoua alla le lendemain à Averse, my-chemyn de Capoua et de Napples, à cinq mil de l'un et de l'autre; (COMM., III, 1495-1498, 94)
[10] S'iert le retret de ma jonesse, S'iert le baston de ma vieillesse, Soustenent ma fragilité, Et quant je seray exité A paier le treu de nature, Celle ara de m'ame la cure Et prira pour l'ame de my: Ce ne feront pas mi amy; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 28)

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