C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de moi dans 7FMR 
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[1] et moi de .XXV. demouray chargee de trois enfans petis et de grant mainage. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 100)
[2] J'ay sceü ces choses par plusieurs, et par especial par la bouche de messire Jacques de Sainct Pol, qui ainsi le compta au roy, quant il fut amené prisonnier, où il n'y avoit que moi present. (COMM., II, 1489-1491, 25)
[3] Et, pour plus l'asseürer, luy diz que cecy procedoit des Anglois, et puis le feïz manger avec moi, où n'estions que nous deux et ung serviteur, et petit à petit le mectoye en ce qu'il avoit affaire. (COMM., II, 1489-1491, 42)
[4] " Monsr du Bouchaige et moi eusmes ensemble le premier messaige de la bataille de Morat et ensemble le dismes au roy, lequel nous donna à chascun deux cens marcz d'argent. (COMM., II, 1489-1491, 159)
[5] " Monsr du Bouchaige et moi eusmes ensemble le premier messaige de la bataille de Morat et ensemble le dismes au roy, lequel nous donna à chascun deux cens marcz d'argent. (COMM., II, 1489-1491, 159)
[6] Ladicte prossuyte m'a esté de grande despence, et on m'a tousjours remis quant vous auriéz recouvert Pise, ce qui est advenu, Dieu mercy, et ne croy point nulle personne hors Florence qui en ait esté plus joyeulx que moi. (0304, 305)
[7] Ainsi quatre de moy se partent Qui de griefs pensers me repartent De moi bouter en servitute, Qui par le droit de l'institute Et du droit du ciel premerain Suis plus frans que l'oisel du raim, Qui puet ou il lui plaist voler: Aussi puis je par tout aler Franchement et sanz nul lien. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 20)
[8] Se male est et de durs accors, Et qu'elle me riote et tance, Ce sera trop dure sentence, Paine et travail non supportable, Vie a moi et a lui dampnable, Car Salemon dit en appert Que mieulx vault il vivre en desert Qu'avec male femme habiter. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 25)
[9] L'exemple en voiez proprement, Que moi, qui par prison ne guerre, Ne aler par mer ne par terre, Ne poy onques estre domptez Fors par femme, or suis ahontez Que je n'ose son desplaisir Penser, ne hors aler gesir, Ne demourer plus hault d'une heure, Que femme ne me coure seure. lien. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 35)
[10] Treschers amis, vraiz et secrez, Saiges et courtois et discrez, M'amour, mon bien, mon esperance, Mon confort, toute ma fiance, Le soustenement de mon corps, De ma vie et mort li drois pors, Cellui en qui j'ay mon attente, Savoir vous faiz que l'en me tempte Et presse de marier fort, Et me dit on pour reconfort Que mieulx vault que je me marie Que non, et pour avoir lignie, Afin que mon renom ne faille Et que garçon ne truandaille N'aient après ma mort le mien, Et aussi que, se vieulx devien, Que ma femme sousteneresse Soit de moi et de ma vieillesse, Ou mes enfans, s'elle mouroit; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 37)

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