C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de miz dans 7FMR 
168 attestations 
 Page /17 

[1] Bien estoit le roy Charles informez de ce roy Aquin qui se tenoit en Bretaingne, mais il ne vouloit pas pour ce rompre ne brisier son voyaige ne sa emprise, et disoit: " Laissiez-le amasser en Bretaingne ce nous sera petit de chose à delivrer le pays de luy et de ses gens, quant nous arrons acquitté les terres de deça et miz à le foiz crestienneté. (FROISS., Chron. M., c.1375-1400, 10)
[2] Ci fine le livre de l'Estoire de la marquise de Saluce, miz par personnages et rigmé l'an mil CCCIIIIXX et quinze. (Gris., 1395, 100)
[3] Neantmoins, soubz la fiance de son gracieux support et à vostre enhortation, je me suis miz à descouvrir ma temerité et fol cuider, vous priant que se l'escript vous semble aucunement mal sonnant, le veuilliez taire et soppir, que nul fors vous ne cognoisse ma fole entreprise. (ROBERTET, Oeuvres Z., c.1450-1500, 115)
[4] car ja avoient avisé le Jouvencel et sa compaignie et miz quelque ordre à leur fait, et tellement qu'ilz estoient en bataille, combien qu'ilz fussent empeschiez de leur proye que à peine se povoient aider. (BUEIL, I, 1461-1466, 146)
[5] Car ilz sont miz pour garder l'ost et pour regarder la convine de leurs ennemiz. (BUEIL, I, 1461-1466, 149)
[6] Et est la cause pourquoy ilz se sont miz en trois parties. (BUEIL, I, 1461-1466, 171)
[7] Et je luy miz ma main dedans la sienne et lui diz: je me rens. (BUEIL, I, 1461-1466, 224)
[8] Quant le Jouvencel fut retourné à Crathor, aprezqu'il eust prins congié du conte de Parvanchières, se meust devant luy la question d'ung gentilhomme qui avoit amené ung sien prisonnier à la ville et l'avoit miz dedans sans le congié du cappitaine. (BUEIL, II, 1461-1466, 8)
[9] Car communement au desloger y a grant bruit et grant desroy et, avant qu'on ait priz champ ne soy miz en bataille, si les ennemiz surprenoient la compaignie, ilz la pourroient mettre en desconfiture. (BUEIL, II, 1461-1466, 34)
[10] Item au mast de la nef doit avoir fort attachié un tref, lequel soit ferré de l'une part et de l'autre, et là miz par tel engin que on le puisse haulcer et abaisser et en ferir grans coups, qui viennent hurter contre la nef des ennemiz; (BUEIL, II, 1461-1466, 58)

168 attestations 
 Page /17 
Fermer la fenêtre