C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de mielz dans 7FMR 
7 attestations 
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[1] Alors le seigneur de Loissellench dist: "Vous voiez mielz que moy mon honneur et ma honte: je les remetz en vos mains. (LA SALE, J.S., 1456, 157)
[2] Et pour la dame mielz apaisier, il lui descouvry et dist toute l'amour qui estoit entre lui et Milie la fille de l'empereur de Romme, et bien dist que pour nul avoir il ne pourroit ailleurs entendre, si fermement y estoit mis. (Bérinus, II, c.1350-1370, 147)
[3] Et lors que les Griffons virent que leur seingneur estoit pris, ilz s'enfouyrent tout desconfis, sanz plus attendre, et cellui qui le mielz pouoit fouir se mettoit au devant, ne il ne attendoit per ne compaignon. (Bérinus, II, c.1350-1370, 179)
[4] Premierement hon en fuit touz les sept pechiez mortelz, secondement hon en est mielz chevauchant et plus viste et plus entendant et plus apert et plus aisié et plus entreprenent et mieulx cognoissent touz pays et touz passages. (GAST. PHÉBUS, Livre chasse T., 1387-1389, 52)
[5] à laquele femme, ladite Colete dist et respondi que c'estoit pour la cause dessus dite laquele vieille femme dist après ce à icelle Colette que Dieu la reconforteroit et qu'elle pensast de gaignier pour nourrir sadite fille et qu'il lui vauldroit mielz qu'elle la portast au Saint-Esperit ou à Nostre-Dame à la Couche pour nourrir et gouverner avecques les autres enfans, et qu'il vauldroit mielz ainsi faire que autrement. (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 532)
[6] à laquele femme, ladite Colete dist et respondi que c'estoit pour la cause dessus dite laquele vieille femme dist après ce à icelle Colette que Dieu la reconforteroit et qu'elle pensast de gaignier pour nourrir sadite fille et qu'il lui vauldroit mielz qu'elle la portast au Saint-Esperit ou à Nostre-Dame à la Couche pour nourrir et gouverner avecques les autres enfans, et qu'il vauldroit mielz ainsi faire que autrement. (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 532)
[7] Es quelles assises lesdiz procureurs, es noms que dessus est dit, presans en jugement pardevant nous, requerans a grans instance droit ou sentence diffinitive estre fait et prononcié par nous sur ledit procés, nous, veuz et diligenment examinez les faiz, raisons, procés et deposicions des tesmoings desdites parties, consideré tout ce qui faisoit a considerer, eue deliberacion,avis et conseil sur tout, deismes et prononçasmes, disons et prononçons en la maniere qui s'ensuit : Veu le procés fait entre le procureur de madame la royne Jehanne de Bourgogne, ou temps que elle vivoit, et reprins par le procureur du roy aprés la mort d'icelle, d'une part, et les religieus abbé et convent de Saint Magloire d'autre part, nous disons que lesdiz religieus ont mielz et plus souffisaument prouvee leur entencion que n'a le procureur du roy la sienne, si comdempnons le procureur du roy a restablir lesdiz religieus et leur prison de la ville de Vernoillet de Hylaire Noël et Agnés, sa femme, qui furent prins en ladite prison par Jehan de la Ruelle, sergens de Poissy, et sera faicte ladicte restitucion par signe d'aucune figure, se le procureur du roy ne puet restablir lesdiz prisonniers, et avecques ce, absoulons lesdiz religieus de la demande faicte contre eulz desdiz procureurs du roy et ma dame la royne sur les desobeissances que il maintenoient avoir esté faictes contre ledit sergens, par nostre sentence diffinitive et par droit. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 65)

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