C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de mettes dans 7FMR 
21 attestations 
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[1] O souveraine sapience plus parfonde que la terre, et plus haulte que les cieulx, qui mesuras le temps et assignas a toutez choses leurs mettes! (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 35)
[2] Ce pourras tu bien faire, mais que peine y mettes. (CHR. PIZ., Trois vertus W.H., c.1405, 13)
[3] La subtilité de cest exemple ne fust pas bien honneste, cedist Vallerius en la fin de ceste lettre, qui est assez clere et dist ainssy:comment Quintus Fabius Labès fut de par le senat constitué arbitreentre ceulz de Napples et ceulz de Noble, pour ordonner les mettes et finsde leurs terres et seignouries, qui estoient voisines; (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 26)
[4] Bien savoit la cause des choses Qui sont ou firmament encloses, Pourquoy li solaus en ardure Se tient, et la lune en froidure, Des estoiles et des planettes Et des douze signes les mettes, Pourquoy Dieus par nature assambleHumeur, sec, froit et chaut ensamble, Et pourquoy li quatre element Furent ordené tellement Qu'adès se tient en bas la terre, Et l'iaue près de li se serre, Li feus se trait haut a toute heure, Et li airs en moien demeure. (MACH., J. R. Nav., 1349, 179)
[5] Einsi est, puis que tant t'assers A Fortune que tu la sers Et yes mis en sa servitute, Il couvient par force que tu teMettes a nagier et a rime, Selonc ce qu'elle nage et rime, Et qu'a ses meurs tu te conformes En tous cas et en toutes formes, Puis que tu yes de ses maisnies. (MACH., R. Fort., c.1341, 94)
[6] Et s'il est que tu aies tort, N'aies pas le cuer si entort Qu'a toutes raisons ne te mettes Et que tort ensus de ti gettes. (MACH., C. ami, 1357, 111)
[7] Ne quier point qu'en honneur me mettes N'en dignité, qui a nient vient; (Mir. st Ign., 1366, 80)
[8] Pour ce dit Jhesus le filz Syrach, en l'Ecclesiastique : «Ayes largement amis et paix a pluseurs, mais entre mille ayes ung conseillier ouquel tu mettes ton ceur et ta fiance. (FILLASTRE, Traité Conseil H., c.1472-1473, 146)
[9] Et advint que, au moyen de ce que lesdictes vignes faillirent, comme dit est, et que le vin ne vallut guieres, plusieurs marchans s'en alerent cercher les bons en diverses regions loingtaines, lesquelz marchans firent amener en la ville de Paris, qui fut pareillement chier vendu, comme six et sept blans la pinte, et lesquelz vins furent alez querir jusques es fins et mettes des dernieres villes d'Espaigne. (ROYE, Chron. scand., II, 1460-1483, 109)
[10] Et aussi sur le prix d'une queue de vin [ou] de quelque marchandise que ce soit qui seroit amenée desditz pays dudit duc de Bourgoigne ou royaulme et pays de l'obéissance du roy ou qui seroit traicte hors du royaulme et obéyssance du roy et menée esdits pays du duc de Bourgoigne, ung escu d'or sur chascune queue de vin, ou le prix d'icelle en aultre marchandise qui seroit traicte du dit royaulme et menée en Angleterre, ou du dit pays d'Angleterre menée ou royaulme de France, ung escu d'or, le tout passant tant par eaue que par terre par les fins et mettes des prevostés et vicomtés de Paris, bailliages de Vermandois, Sens, Troyes, Chaumont, Victry, Meleum et Senlis, et par les rivieres de Seyne, Yonne et autres rivieres descendans desdittes prevostés et bailliages en la mer. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 338)

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