C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de messire dans 7FMR 
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[1] Par Messire Ode et par Machaut Se puet il assez tesmoingner. (CHART., D. Rev., a.1424, 314)
[2] ITEM, le duc de Bourbon, qui son serourge estoit, et bien le dot tenir pour frere, car vaillant et tres bon seigneur fu, avec le bon connestable Messire Bertran de Claquin conquist à tout l'aide des barons du lieu aucques toute Bretaigne dont le duc qui adont vivoit lui estoit rebelles, et autre part semblablement en plusieurs lieux esprouva sa vaillance, et ainsi puis ça, puis là, contre les ennemis les dis seigneurs se transportoient. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 111)
[3] Les autres chevetains principaulx estans continuellement sur les champs, estoient du sang royal le conte d'Alençon, le conte de Perche son frere, le marechal de [Sain Cire qui puis fut connestable, le marechal de] Blannule, le seigneur de Cliçon, le seigneur de Coucy, le begue de Vilaines, le seigneur de Montfort, le seigneur de Montauban, cellui de Roye, Monseigneur Guy de Rochefort, Messires Olivier de Mauny, Messieurs Jacques Daulphin, maistre des arbalastiers, le seigneur de Bueil, le seigneur d'Asseynes de Gales tant qu'il vesqui, le poursuivant d'Amours, messire Omenion de Pommiers, et autres barons, chevaliers, et nobles hommes vaillans et preux dont je n'ay congnoissance, et plusieurs capitaines estrangiers à grant foison, car n'est mie doubte que de toutes bonnes gens s'estoient le sage roy si bien pourveuz que riens n'y convenoit, tant de gent de trait comme de tout autre estorement de guerre. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 112)
[4] et meismement avint n'a pas longtemps de messire Robert d'Artois, lequel par le content que le roy ot a lui dommaiga moult le royaume de France a l'aide des Anglois. (CHR. PIZ., Trois vertus W.H., c.1405, 34)
[5] et pour ce dit Seneque ou livre de Clemence que le prince n'est mie liberal, qui de l'autruy fait ses largeces, mais cellui doit estre appellez vray large, qui restraint son propre estat pour donner là, où discrecion lui moustre qu'il soit bien emploié, et pour tant nostre sage roy, en qui toutediscrecion estoit, bien avisoit où asseoit ses grans dons, et nullement n'amast aucun singulierement, se aucune grant vertu ou pluseurs n'y avoit aperceu, si comme il fist en son bon chevalier, messire Jehan de la Riviere, lequel il ama especialment pour sa tres grant loyaulté et preudommie, car, ou temps des pestillances de France à cellui furent faittes grans offres de deniers et seigneuries par plusieurs traittres mauvais, mais que il voulsist faire ou donner oportunité et lieu de acomplir mauvaistié et traison, lequel loial et bon chevalier plus tost eust esleu la mort en sa personne que consentir felonnie, et ces choses et autres vertus en lui sceues et aperceues du sage roy, à bon droit l'amoit singulierement ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 100)
[6] laquelle amour bien moustra, après la mort de cellui, à son frere, messire Buriau de la Riviere, lequel autressi estoit sage, prudent, beau parlier, homme de belle faconde, et miste en toutes choses ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 101)
[7] Item, comment le roy Charles fist messire Bertran de Clequin son connestable. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 106)
[8] Item, comment les chevalereux firent grant feste de ce que messire Bertran estoit fait connestable. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 106)
[9]Item, comment messire Bertran ala après les Anglois, qu'il desconfist. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 107)
[10] Item, d'aucunes forteresses que messire Bertran assigia et prist. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 107)

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