C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de mect dans 7FMR 
4 attestations 
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[1] Et quant icelle m'entendit, Bien doulcement me respondit: " Je ne mect point de contredit Que ne soiez Si secret comme estre doiez. (CHART., L. Dames, 1416, 214)
[2] ung seul saige homme on ne leur mect à l'entour; (COMM., I, 1489-1491, 69)
[3] Premier en vient division et guerre, car il mect tousjours son auctorité en main d'autre, qu'il devroit plus vouloir garder que nulle autre chose. (COMM., I, 1489-1491, 131)
[4] Car je y fuz plusieurs fois durant ces differens, et à certain me fut dit (par le temps dont j'ay parlé) par le maire que, de l'estape de Callaix, il feroit donner au roy d'Angleterre quinze mil escuz de ferme, car le cappitaine prent tout le prouffit de ce qu'il y a deçà la mer et sauf conduitz et mect ledict cappitaine la pluspart de la garnison à sa poste. (COMM., I, 1489-1491, 194)
[5] Et est de croire que ung saige prince mect peine tousjours d'avoir quelque amy ou amys avec partie adverse et s'en garde comme il peult. (COMM., I, 1489-1491, 220)
[6] Ung prince doit bien avoir l'oeil quelz gouverneurs il mect en ung pays nouveau joinct à sa seigneurie; (COMM., II, 1489-1491, 100)
[7] Et doncques, si ung prince est fort et a grand nombre de gens d'armes, par l'auctorité desquelz il ayt deniers à voulenté pour les payer et pour despendre en toutes choses voluntaires et sans necessité de la chose publicque, et que de celle folle et oultraigeuse entreprise et despence ne vueille riens diminuer et que chascun, en tant que à luy touche, en feïst remonstrance et que l'on n'y gaigne riens, mais, quipis est, que l'on encoure son indignation, qui y pourra mectre remedde, si Dieu ne le y mect? (COMM., II, 1489-1491, 213)
[8] Ung prince doit bien avoir l'oeil quelz gouverneurs il mect en ung pays nouveau joinct à sa seigneurie; (COMM., II, 1489-1491, 100)
[9] Et doncques, si ung prince est fort et a grand nombre de gens d'armes, par l'auctorité desquelz il ayt deniers à voulenté pour les payer et pour despendre en toutes choses voluntaires et sans necessité de la chose publicque, et que de celle folle et oultraigeuse entreprise et despence ne vueille riens diminuer et que chascun, en tant que à luy touche, en feïst remonstrance et que l'on n'y gaigne riens, mais, quipis est, que l'on encoure son indignation, qui y pourra mectre remedde, si Dieu ne le y mect? (COMM., II, 1489-1491, 213)
[10] Et dit des " esperons de bois ", pour ce que, pour ceste heure, les gens jeunes, quant ilz vont par ville, leur page leur mect une petite broche de bois dedans le soulier en pentoufle, et sont sur les mulles, branslans les jambes. (COMM., III, 1495-1498, 82)

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