C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de mandons dans 7FMR 
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[1] Nous vous mandons que la royne Vostre femme gist de jesine; (Mir. fille roy Hongrie, c.1371, 45)
[2]Vezci, chier sire: il esconvient Que nous mandons touz voz barons; (Mir. ste Bauth., c.1376, 100)
[3] Je lo que nous ci le mandons, Que tantost viengne a nous parler Ains qu'il s'ordene ailleurs aler Ne ça ne la. (Mir. st Alexis, 1382, 288)
[4]Je lo que mandons sanz demour A Lipage qu'il ne se tiengneQu'a nous tantost ici ne viengne Parler un poy. la. (Mir. st Alexis, 1382, 292)
[5] Mandons et faisons assavoir Que le tabellion Devoir, Juré des contraux en amours,A veu nouvellement, a Tours, De Vaillant l'obligacion Entiere de bien vraye sorte, Dont en fait la relacion, Ainsi que ce vidimus porte. (CH. D'ORLÉANS, Ball. C., c.1415-1457, 160)
[6] Mandons de noz amis et nous tenons secretement ensemble, et verrons quel conroy ilz prendront, afin que, se ilz viennent sur nous, que ilz ne nous treuvent point a descouvert, et aussi, se Remondin se part, que il ne soit pas souspriz d'eulx, car, se ilz ont entencion de lui mal faire, ce n'est que de lui oster sa vie. (ARRAS, c.1392-1393, 70)
[7] Or mandons les deux chevaliers qui sont venus du saint voyage d'oultre mer, et leur enquerrons plus avant de cest affaire. (ARRAS, c.1392-1393, 81)
[8] Il est bon que nous le mandons a noz amis et parens et a tous ceulx qui ont esté de ceste fole aliance. (ARRAS, c.1392-1393, 207)
[9] Lors font faire unes lettres faisans mencion: A vous, duc d'Osteriche, et vous, conte de Fribourt, et a tous voz aliez, nous Regnault de Lusegnen, roy de Bahaigne, et nous Anthoine de Lusegnen, duc de Lucembourc, et nous OEudes de Lusegnen, conte de la Marche, et nous Gieffroy de Lusegnen, seigneur d'icellui lieu, et Remond de Lusegnen, conte de Forests, et Thierry de Lusegnen, sire de Parthenay, vous mandons que, tantost ces lettres veues, vous vous gardez de nous, car nous vous porterons dommage le plus tost que nous pourrons, a cause du tort que vous faictes et avez fait a nostre tres chier et bien amé oncle le roy d'Ausaiz. (ARRAS, c.1392-1393, 284)
[10] En oultre mandons que ceste nouvelle soit a eulz deux par ung des angels, noz messaigiers, tantost portee. (GERS., Concept., 1401, 405)

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