C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de mandant dans 7FMR 
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[1] Et, pour ce, à grant diligence envoya le roy devers ses embassadeurs estans à Bouvynes, leur mandant ne conclure riens contre ledict connestable pour des raisons qu'il leur disoit, mais qu'ilz allongeassent la trève selon leur instruction, qui fut d'ung an ou de six moys, je ne sçay lequel. (COMM., I, 1489-1491, 247)
[2] Quant j'ay par vous aucun mal qui me blesse, Je l'endure par le conseil d'Espoir Qui m'a promis qu'a ma seule maistresse Lui fera brief mon angoisse savoir, En lui mandant qu'en faisant mon devoir, J'ay tout les maulx que nul pourroit souffrir. (CH. D'ORLÉANS, Ball. C., c.1415-1457, 36)
[3] Mais qui qui face feste de Remondin, le chastellain de Derval, qui fu nepveu Josselin de Pont le Leon, fist tout le contraire, mais envoya soubdainement a tous ses proismes et qui estoient parent de Josselin, en eulx mandant comment la chose estoit alee de son oncle, et que ilz feussent a un certain jour que il leur manda, a un recept qu'il avoit en la forest de Guerrande, et qu'il savoit bien que, quant Remondin partiroit, qu'il en yroit par assez prez, car la plus grant partie du pays de Guerrande estoit a lui. (ARRAS, c.1392-1393, 67)
[4] et pour ce tramistrent il leur legat a Tybur en mandant et priant que ceulz hommes fussent restituez aus Rommainz. (BERS., I, 9, c.1354-1359, 54)
[5]12) et pour ce envoia l'en tantost legaz a Fabius en luy mandant que se la guerre de Samnie avoit aucun laschement il tresportast son ost en Ombre. (BERS., I, 9, c.1354-1359, 77)
[6] (54.5) Donques comme il veist que il avoit ja tant acquis et procuré d'aydes et de forces que il pooit resister a tous preforcemens, il a tremis a Rome un message a son pere en mandant que, comme lez diex li eussent doné que lui tous seus peust faire toutez choses en peuple des Gabins, quele chose estoit ce que il voloit qu'il feist. (BERS., I, 1, c.1354-1359, 90)
[7]Et, par lesdictes lettres, estoit contenu l'aliance faicte du roy et du roy Henry d'Angleterre, en mandant par lesdictes lettres tous Anglois laisser venir et descendre en ce royaume pour leurs afaires et marchandises, sans saufconduis ne autre seureté, comme les subgetz de France, sauf en ce non comprins Edouart de la Marche, nagueres roy dudit royaume d'Angleterre, ses aliez et complices. (ROYE, Chron. scand., I, 1460-1483, 247)
[8] En ce mesme temps, le roy, estant à Molusson, envoya messire Yvon du Fou par devers monseigneur de Nemours, qui estoit à Montagu, en luy mandant qu'il allast par devers luy et que premierement il luy envoyast le seigneur de Lanchac, auquel le roy bailleroit telle seureté pour ledit monseigneur de Nemours qu'il vouldroit demander. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 184)
[9] Et, oultre, nous transporta les prevostez de Vymeu, Feulloy en Beauvoisin en tous tels drois que les autres villes et terres dessus dittez, desquelles il nous fist bailler et delivrer la possession, en quitant et dechargant tous les vassaulx et autres subjectz d'icelles villes et terres des fidelités et sermens qu'ilz avoient à luy, en leur mandant de nous faire les sermens et fidelités et nous estre bons, vrais et obeissans subjectz, ce qu'ilz ont fait, tant à la personne de noz commis ambassadeurs que à nostre personne. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 258)
[10] Helas, quel povre confort a ce esté a nous voz povres brebis qui sommes cy en frontiere d'unes lectres qu'il vous a pleu aenvoyer faisant mencion de une assemblee que on dit avoir esté faicte de mon tres redoubté seigneur monseigneur le daulphin vostre seul et unique filz et autres voz parens dont vous avez prins desplaisance, en nous mandant a moy et a mes povres subgetz que a luy ne a sesaliez ne voulsissons donner aucune faveur. (JUV. URS., Loquar, 1440, 346)

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