C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de malx dans 7FMR 
9 attestations 
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[1] Et pour cenous touz avon paour des malx, comme sont mauvais opinion ou diffame denous et souffrecté ou povreté et maladie et inimitié ou estre hay etla mort. (ORESME, E.A., c.1370, 204)
[2] Comme pour refraindre les malx et les pechiés. (ORESME, E.A.C., c.1370, 183)
[3] Pour ce Gale de sa mamelle Contre Dieu point ne murmuroit, Mais paisiblement enduroitTout mal et toute adversité Et gracïa la trinité De toz les malx qu'el recevoit, Quar greignour espoir concevoit D'avoir ou ciel joie et leesce Tant com ci avoit plus destresce. (Tomb. Chartr. Trois contes S., c.1337-1339, 95)
[4] Quant plus en serez envaïz, Souvienge vous es malx grevous Qu'il me haït avant que vous, Mais je l'ay vaincu sans doubtance. (Tomb. Chartr. Trois contes S., c.1337-1339, 113)
[5]Si est trop grant malaventure Que pechëour unques murmure Pour nulle temporel grevance, Quant ceulx par divine ordenance Iceulx malx a endurer ont Qui ou ciel o Dieu regneront. (Tomb. Chartr. Trois contes S., c.1337-1339, 119)
[6] Et pour ce que n'avons le cuer en bien, Nostre Seigneur nous envoye tempestes, [f°16 v°] mortalités et pluseurs tribulacions et meschances pour lez malx et orribles pechiéz et tirennie que aujourduy acometons tant que je en suis bien merevillé que ne prenons a cuer ce que l'escripture dit; (6208, 19)
[7] Cedit jour, la Court a fait lire certeinnes lettres hier ceans envoiées closes de par monseigneur le duc de Berry, pour ce que aucuns publioient à Paris, comme avoit ledit Berry entendu, qu'il haioit les habitans de Paris et leur voloit mal, si a mandé la Court les prevost de Paris et des Marchans et leur a enjoint quese informent et enquierent de telx malx parleurs et en facent bonne justice, et se il ont mestier de la Court, elle s'est offerte et offre à eulx ayder à faire bonne justice. (BAYE, II, 1411-1417, 19)
[8] et depuis retourna et fit de rechief maulx innumerables, et fut une fois desconfit par le duc de Bourgongne Richart, acompaigné des François, et lors comme impatient et desplaisantrassembla gens comme devant et fist de rechief malx merveilleux. (JUV. URS., T. crest., c.1446, 63)
[9] Et che contre deux malx par lesquelz perist chasteté, asscavoir chaleur d'eage et delectation de vie. (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 295)

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