C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de leve dans 7FMR 
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[1] fonteinne de concorde, La duis de misericorde, Ruissiau qui leve et racordeMains pecheurs, fluns de douçour, Oy ma clamour: Fais que pechiés ne me morde, Si qu'ennemis ne m'encorde De ses craus et de sa corde, Car en toy sont tuit mi tour Et mi retour. (MACH., Les lays, 1377, 412)
[2] Puis se tourna vers Magdelene, De grant doleur et contriction plainne : Magdelene, leve toy sus ! (Pass. Autun Biard F., 1470-1471, 75)
[3] leve sus! (Pass. Auv., 1477, 131)
[4] Leve toy, mort; (Pass. Auv., 1477, 131)
[5] Et tantost le Mareschal de Crathor et Connin vindrent au conte de Parvanchières et lui dirent: " Monseigneur, seurement le siège de la porte par où vous entrerez en la ville se leve et s'en vont à leurs gens au champ fortifié. (BUEIL, I, 1461-1466, 189)
[6] Qui dit que les commandemens de Dieu sont trop durs et pesans, il fait Dieu mensongier qui le contraire afferme : Jugum meum suave est et onus leve. (GERS., Concept., 1401, 413)
[7] Nec leve putetur hoc officium aut passum quibuscumque commendandum, quod apud veteres inter tam varia genera virtutum afferme : Jugum meum suave est et onus leve. (JUV. URS., Verba, 1452, 241)
[8] Et pour ce que a Chartres aucuns en vouldrent faire doubte, je me leve et dis que l'an mil IIJcIIIJxx et XVIIJ la matiere futhaultement traictee etconclud que vous povés presider au conseil de vostre esglise de France, et par leur advis et de ceulx de vostre sang et conseil conclurre ou fait des libertés et franchises de vostre esglise et en faire loy, ordonnance et Pragmatique sanction et icelle faire garder et observer par toutes voyes deues et raisonnables. (JUV. URS., Verba, 1452, 385)
[9]Contre le bondissement de cueur, ou de vouloir vomir,l'on luy frotte le mufle avec des aux, ou des poreaux broyez,et luy en fait on avaller, ou ainsi, ou avec une pinte de vin,principalement à la colique, et au bruit de ventre, ce que l'oncognoist quant il se plaint, se couche et leve souvent, et nepeut durer en place. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 22 v°)
[10]En canon ou en fleuste, ou en cornuchet : l'on leve un canonlong de deux ou trois oeillets d'un nouveau drageon groscomme le doigt ou environ, en le fendant doucement selon lalongueur, puis l'on plume une branche de sauvageau de pareillegrosseur et longueur, et y fiche l'on ledit canon le plus avantqu'il peut entrer, et luy laisserez l'escorce superfluë pour defense,puis on le lie dessus et dessous sans toucher aux oeillets,et couppe l'on le bois qui avance outre la racine, puis on l'estouppede cire gommee le long de la fente et au bout. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 71 r°)

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