C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de juments dans 7FMR 
2 attestations 
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[1] Ilz leurs ostoient les races des chevaulx, dont ilz en ont plusieurs, et les prenoient pour eulx et les faisoient gouverner en leurs mains, et en si grand nombre, tant chevaulx, juments que poulains, qu'on les estimoit à beaucop de milliers; (COMM., III, 1495-1498, 80)
[2] Et en amenerent beufz, vaches, chevaulx, juments et autres biens, et après s'en retournerent en leursdictes garnisons. (ROYE, Chron. scand., II, 1460-1483, 95)
[3] Faut aussi avoir esgard àla bonté du fien, car le bon fien doit estre serré de saison etreposé un an, s'il est plus vieil, tant moins en vaut : le fien meilleurde tous, est celuy de pigeon, puis celuy de l'homme principalements'il est meslé avec d'autres ordures et immondicesde la maison : car de sa nature il est trop chaud : apres, le fiend'asne, qui est le meilleur de tous fiens de bestial, parce queceste beste masche et mange lentement, dont elle digere mieuxet rend le fien plus confit et idoine à estre mis promptementen terre : apres cestuy, le fien de brebis : puis celuy des chevres :finalement de tous autres, comme chevaux, juments, etbeufs : le pire de tous est celuy de pourceaux, à raison de sagrand chaleur, par laquelle il brusle incontinent la terre. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 99 v°)
[4]EN terres fortes et franches, comme dit est,où il faut trois chevaux sur charrue de cinquantepieds, non ainsi joincts et attelez commeen païs, où l'on laboure avec des juments,des asnes et des beufs, ou des buffles : il fautapres le premier labeur esmotter avec le roleau,et applattir ou esquarrir et applanir avec la planche. sa nature il est trop chaud : apres, le fiend'asne, qui est le meilleur de tous fiens de bestial, parce queceste beste masche et mange lentement, dont elle digere mieuxet rend le fien plus confit et idoine à estre mis promptementen terre : apres cestuy, le fien de brebis : puis celuy des chevres :finalement de tous autres, comme chevaux, juments, etbeufs : le pire de tous est celuy de pourceaux, à raison de sagrand chaleur, par laquelle il brusle incontinent la terre. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, (null))
[5]Somme ce bestial sert, et vaut outre le labeur, pour le laict, etpour le cuir, plus que la vache ou le beuf, car en d'aucuns endroitsles laboureurs s'aydent aussi bien de juments, asnesses,mules et vaches, que des masles de ceste façon. esmotter avec le roleau,et applattir ou esquarrir et applanir avec la planche. sa nature il est trop chaud : apres, le fiend'asne, qui est le meilleur de tous fiens de bestial, parce queceste beste masche et mange lentement, dont elle digere mieuxet rend le fien plus confit et idoine à estre mis promptementen terre : apres cestuy, le fien de brebis : puis celuy des chevres :finalement de tous autres, comme chevaux, juments, etbeufs : le pire de tous est celuy de pourceaux, à raison de sagrand chaleur, par laquelle il brusle incontinent la terre. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 101 r°)

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