C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de issues dans 7FMR 
6 attestations 
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[1] si n'est pas heure De conseillier, à dire voir, N'encor ne poons nous savoir Leurs alées ne leurs venues, Leurs entrées ne leurs issues, Si que demain nous les sarons Et seur ce nous conseillerons. (MACH., P. Alex., p.1369, 148)
[2] et bien scevent que les Englés ne les iroient jamais la querre, car point ne congnissoient les entrees et les issues, et sont fortes a cevauchier. (FROISS., Chron. D., p.1400, 218)
[3]Qant li rois d'Engleterre ot envoiiet ses gens costiant la marine, par le consel de mesire Godefroi de Harcourt, et chil se furent mis au cemin, assés tos apriés il se departi de la Hoge Saint Vast, la ou il avoit pris terre, et fist monsigneur Godefroide Harcourt conduiseur de toute son hoost, pour tant que il savoit les entrees et les issues de la ducee de Normendie. (FROISS., Chron. D., p.1400, 681)
[4] Pareillement les eaues retournent au lieu dont sont issues. (Somme abr., c.1477-1481, 158)
[5] Pour ce soit advertissement aux roys de France et François pour jamais, de non aver fiance ne foy en langue lombarde, car si je vouloye reciter les inumerables traïsons et faulcetés, que d'icelle part sont issues, il ne seroit en piece fait. (SIMON DE PHARES, Astrol., c.1494-1498, 166)
[6] Et prumiers pour oster et eskiver toute matere de plait et de riot qui se porroient mouvoir et naistre après men trespas entre chellui ou ciaus qui se vaurroit ou vorroient dire estre mes hoirs ou mi hoir d'une part et Philippe Le Conte, men mari, et mes executeurs, tant conjointement comme divisement, d'autre part et que pais soit et demeure nourrie entre yaus a tous jours, je par amiaule acort, advis, inventaire et parchon, fais et elus entre mi et le dit Philippe, men mari, loiaument et justement de tous les biens muebles quelconques que nous avons et poons avoir ad present communs ensanle, ay pris et recongnois avoir pris pour toute et cele partie de biens muebles qui a mi poent et doivent appartenir contre le dit Philippe, men mari, de tous les biens muebles quelconques que nous avons communs ensanle, trente livres parisis, le robe d'escarlate et autres joyaux ci après declairiez et par mi laissiés, ordenés et devisés, et avec ce tous les profis, issues et revenues de tousmes hiretaiges quelconques pour l'ennee prochaine après le jour de men trespas, toutes lesquelles choses j' ay pris et preng pour me juste partie pour ce mien testament enteriner et acomplir. (8204, 69)
[7]MONSIEUR, je prieray l'Eternel qu'avec Messieurs vos freres et Madame de Teligny vostre soeur (plantes portans fruits dignes du tronc d'où elles sont issues) vous tenant en sa saincte protection, il benisse et face prosperer de plus en plus vos vertueuses et genereuses actions. (S746, 50)

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