| [1] | ), plus le demaine et les fiez accreus, la poissance et noblece en chevalerie et toutes choses grigneur ne plus augmentée, plus en paix, moins molestés gens de tous estas, plus riches, mieulx meublés soient princes, nobles, clers, bourgois, ouvriers et gens de commun, qu'il est de bonne heure soit il dit au jour d'ui, et a esté tousjours en amendent au temps du roy adès vivant, non obstant que à nostre nature imperfaitte, en ce monde non assouvie, ne souffise mie et que maintes murmuracions aient esté et soient sus le gouvernement des princes et leur conseil sus le fait du reaume, mais pleust au benoit filz de Dieu que jamais n'alast pis, je tiens que ce seroit le plus glorieux royaume, qui temporisast soubz les nues, non obstant que au gré de tous, qui seroit impossible, ne soit mie gouvernée la chose publique ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 166) |
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Attestation de 