| [1] | Pour che a bon droit en Ecclesiastique est ajoint : «Et ne despites les pensees d'ichellui», c'est a dire : ne soies pas negligent de le corrigier de ses mauvaises cogitations qui se moustrent a ta congnoissanche. (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 183) | | [2] | Et aime on tellement que par ceste maniere conscience humaine se treuve coulpable s'elle n'aime chelui qui l'aime, sans querir autre chose du corps d'ichellui se non les jugemens de bon voloir. (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 273) | | [3] | Dont de l'omme non endoctriné en adolescenche dist Job ou .XXXe. chapitre : «Les os d'ichellui», c'est a dire le forche de son ame, «sera emplie des vices de son adolescence». (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 292) | | [4] | Ou mouvement du corps et en la beaulté d'ichellui est vergongne plus demoustree, toutefois n'est che pas ichelle beaulté, mais une naturele et simple, negligence plustost de chose oubliee que de chose demandee. (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 296) | | [5] | Dont d'ichellui Dyable est dit en Job ou .XLIe. chapitre : «Son alaine fait a ardoir carbons et flamme se part de sa bouche». (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 391) |
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Attestation de 