C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de humainnes dans 7FMR 
18 attestations 
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[1] Et aveques ce, elle vault et aide a faire composer et establir lays humainnes justes et proffitables, et a les entendre et interpreter, ou gloser. (ORESME, E.A., c.1370, 98)
[2] Et se il estune fin de toutes oeuvres humainnes laquele fin nous voulonset desirons pour soy meïsme et toutes autres pour elle et nonpas chascune fin pour autre fin. (ORESME, E.A., c.1370, 104)
[3] Or dison donques en resuivant, comme il soit ainsi que toutecognoissance et toute eleccion desirent aucun bien et a ce soientordenees comme a leur fin, il est bon d'enquerir quel chosece est que desirer la science civile comme la fin de elle etquelle chose est le souverain bien ou la fin de toutes oeuvres humainnes. (ORESME, E.A., c.1370, 108)
[4] Car en nulle chosequelconques qui resgarde oeuvres humainnes, il n'a telle constance ne si grant fermeté comme elle est es operacionsqui sont selon vertu en tant que encor semblent et sont lesvertus plus permanens et plus durables que ne sont lesdisciplines ou sciences. (ORESME, E.A., c.1370, 133)
[5] Nous avons dit souffisanment que vertu est moienne et enquelle maniere, et que elle est moienne entre deux malices,desquelles une est selon superhabundance et l'autre selondeffaute, et que elle quiert et conjecture le moien enpassions et en operacions humainnes. (ORESME, E.A., c.1370, 172)
[6] Et pour ce, es enunciacions ou conclusions demonstrables ou prouvablesvers operacions humainnes, il convient avoir son entente as diz ou opinions desgenz expers et anciens ou des prudens, plus ou non pas moins que as demonstracions. (ORESME, E.A., c.1370, 353)
[7] Et cest principe en accions humainnes, ce est la fin que l'enentent. (ORESME, E.A., c.1370, 393)
[8] car en tele compaignie il puet mieulx excercer sa vertu, sicomme il est de autres oeuvres humainnes. (ORESME, E.A.C., c.1370, 486)
[9]11) Et certes, dist il, moult doit on bien regarder en choses humainnes se elles sont faites a la plaisance ou a la desplaisance des dieux. (BERS., I, 9, c.1354-1359, 2)
[10] s'en dirai ma sentence, combien que nostre deffense ne seroit pas moult difficile devers ceulz qui ne sont pas ignorant des humainnes fortunes et des neccessitez; (BERS., I, 9, c.1354-1359, 13)

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