C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de homme dans 7FMR 
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[1] Et qui plus avant en veult entendre lise le chapitre qui est parole de Dieu, ou la langue ne la plume de homme mortel ne peut actaindre. (CHART., Q. inv., 1422, 5)
[2] Encore dy je que peu doit priser sa naissance et mains desirer la continuation de sa vie qui passe ses jours, ainsi que fait homme nez pour soy seulement, sans fructifier a la commune utilité, et comme cellui qui estaint sa memoire avecques sa vie. (CHART., Q. inv., 1422, 11)
[3] Comment auroit homme en ce party pacience parfaite, quant a ma persecution ne peut on riens adjouster que la mort. (CHART., Q. inv., 1422, 20)
[4] Et pour conclurre sur ce point du temps dont tu parles et de cestui, j'appelle les vivans a tesmoingque tu t'es selon toy desroyé en tes estaz trop plus que nous, et tu en vois encores les ensaignes, quant ung varlet cousturier et la femme d'un homme de bas estat osent porter l'abit d'ung vaillant chevalier et d'une noble dame et dont ilz souloient estre en court de prince tresbien parez. (CHART., Q. inv., 1422, 40)
[5] Ceste maniere tint le vertueux homme et d'entier courage Mathathias et ses enfans les Machabees en la persecution que fist le roy Anthiocus sur le peuple d'Israël par la desloiauté d'aucuns pervers hommes d'icellui peuple qui vers lui se tournerent; (CHART., Q. inv., 1422, 48)
[6] Cestui Bertran laissa de son temps une tele remonstrance en memoire de discipline et de chevalerie, dont nous parlons, que, quiconcques homme noble se forfaisoit reprochable, on lui venoit au mengier trencher la nappe devant soy. (CHART., Q. inv., 1422, 63)
[7] Le cuer esjoie et soulace, Et l'homme d'ennuy deslie. (CHART., L. Plais., c.1412, 150)
[8] Et fait l'homme sage, Plaisans en langage, Courtois en courage, Ainsi sur tous l'avantage; (CHART., L. Plais., c.1412, 150)
[9] Nul homme ne danseroit, Ains aux cendres crouppiroit. (CHART., L. Plais., c.1412, 152)
[10] Vous racontez Les haulx plaisirs, la joye et les bontez Ou jeune cuer est par Amours montez, Mais les douleurs ne les maulx ne comptez Dont tant y a Que oncq homme qui en amours se l˙a, Et qui souffert a certes les y a,En sa vie puis ne les oubl˙a; (CHART., D. Fort., 1412-1413, 179)

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