C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de graisse dans 7FMR 
2 attestations 
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[1] alors, en le beneissant, commença ainsi à dire : «Ainsi comme Abraham son filz Ysaac, en la rousée du ciel, et en la graisse de la terre, et en l'abondance de froment, vin et oeille,beney et constitua, en adjoingnant que, qui beneistroit lui, fust beney, et qui le maudiroit, fust reempli de maleiçon, ainsi plaise à Dieu qu'à cestui Charles doint la rousée du ciel et la gresse de la terre et l'adbondance de forment, vin et oeille, et que les lignées le servent, et soit seigneur de tous ses freres, et s'enclinent devant lui les filz sa mere. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 190)
[2] quantes parolles anuieuses, quans regars nyces, que de rigolages de aucuns remplis de vins et graisse d'aise souvent y ouoie, lesquelz choses de paour de empirer mon fait, comme celle qui besoing avoit, je dissimuloie sans riens respondre me tournant d'autre part, ou faisant semblant que ne l'entendisse le gectoie a trufe. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 105)
[3] Et si ne sont pas si pesanz, quar ilz n'ont pas encore refete leur graisse ne dedanz ne dehors ne leurs testes, si en sont assez plus legiers et plus vistes, mes de la Saint Jehan jusques par tout le mois d'aoust devienent ilz touz jours plus pesanz. (GAST. PHÉBUS, Livre chasse T., 1387-1389, 65)
[4] En tous evenemens faut cauteriser l'endroit dumal et y mettre sus de beurre frais lavé en eau et vinaigre :puis à la fin faire unguent de beurre salé, avec de la graisse dechevre. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 24 r°)
[5] Et n'y a si grand soing qu'aux autres, sinonde les nettoyer et entendre à leur faire bon appast, jusquesà ce qu'ils ayent prins graisse : car depuis ce temps, il leurdemeure tousjours viande de reste, et ne bougeront d'uneplace, comme sans aucun sentiment et puissance de ce mouvoir,de sorte que les souris quelques fois leur nichent sur ledos, que souvent s'est trouvé un pourceau ayant du lard unpied et demy d'espes. et que les lignées le servent, et soit seigneur de tous ses freres, et s'enclinent devant lui les filz sa mere. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 24 v°)
[6] S'il est lassé et eschauffé,on luy jette de la graisse dans la gorge, et du vin. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 34 v°)
[7] Nulle d'elles est paresseuse, mais chacunevaque à quelque besongne, les unes apportent fleurs etfueilles odorantes, les autres font le miel, les autres s'adonnentà quelque autre vacation : elles hayent sur tout mauvaises senteurs,et ne volent jamais contre la lumiere, ne àla chair, ny ausang ny à aucune autre graisse, mais se contentent seulementde fueilles et fleurs qui ont le jus odorant. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 58 v°)
[8] Nulle d'elles est paresseuse, mais chacunevaque à quelque besongne, les unes apportent fleurs etfueilles odorantes, les autres font le miel, les autres s'adonnentà quelque autre vacation : elles hayent sur tout mauvaises senteurs,et ne volent jamais contre la lumiere, ne àla chair, ny ausang ny à aucune autre graisse, mais se contentent seulementde fueilles et fleurs qui ont le jus odorant. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 58 v°)
[9]PRenez pouliot, sarriette, origan, marjoleine,trois drachmes de chacun : escorce d'encens,myrrhe et sinople, huit drachmes de chacun :griottes seiches destrempees en bon vin, demielivre, foye de pourceau rosty, graisse dechevre, des aulx, de chacun une livre, pilezchacun à part, et puis y adjoustez du sablon deslié, et uneheure ou deux avant, empasterez le poisson de ceste mixtion,et avec les rets environnerez le lieu où sera le poisson. lard unpied et demy d'espes. et que les lignées le servent, et soit seigneur de tous ses freres, et s'enclinent devant lui les filz sa mere. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, (null))
[10]PRenez graisse de brebis, de sesame bruslee, desaulx, du bon vin, origan, thym, marjoleine seiche,de chacun assez competemment, et les pilezavec du pain donnez les au poisson. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, (null))

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