C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de geu dans 7FMR 
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[1] Ilz n'eussent pas geu sur la paille S'ilz eussent des moulz liz assés! (CHART., D. Her., p.1415, 423)
[2] Voluntiers sera soulagee Se s'est le bon plaisir de Dieu Et sa langueur tost deslogee, Quoy que grant piece au lit ait geu. (LA VIGNE, S.M., 1496, 451)
[3] Trois sepmaynes, sans reposer, Ma fille les fievres a heu Et au lit depuis lors a geu, Maigre, deffaicte, macte et fade, Sans jamais partir dudict lieu Tant estoit de son corps malade. (LA VIGNE, S.M., 1496, 469)
[4] Si ay perdu tout bien, toute douçour, Joie, soulas, geu, ris, esbatement, Mon doulz espoir, mon deduit, mon labour, Pour bien servir et amer loyaument. (MACH., App., 1377, 653)
[5] L'anemi t'a bien deceu, Quant en pechié as tant geu. (Mir. nonne, 1345, 343)
[6] Dites me voir, ne detriez: Avec ma fille avez geu, Et l'onneur de son corps eu. (Mir. Amis, c.1365, 27)
[7] Un mandement vous faisons tel: Pour ce que mandé nous avez Que dire a droit ne nous savez Quel hoir la royne a eu, Dont elle gist ou a geu, Tant est hideus a regarder, Que vous le nous faciez garder Et la mére en aucun destour, Car veoir a nostre retour Les desirons. (Mir. fille roy Hongrie, c.1371, 53)
[8]Il ara pis, Devant que nostre geu desparte. mandé nous avez Que dire a droit ne nous savez Quel hoir la royne a eu, Dont elle gist ou a geu, Tant est hideus a regarder, Que vous le nous faciez garder Et la mére en aucun destour, Car veoir a nostre retour Les desirons. (Pass. Auv., 1477, 192)
[9] Laissés ce geu; (Pass. Auv., 1477, 205)
[10] Cedit jour, le Roy estant malade en son hostel de Saint Pol à Paris de la maladie de l'alienation de son entendement, laquelle a duré dès l'an mil CCC IIIIxx et XIII, hors aucuns intervalles de resipiscence telle quelle, et la Royne et le duc d'Orleans Loiz, frere du Roy, estans à Meleun, où l'en menoit le Dauphin, duc de Guienne, aagié de IX ans environ, et sa femme, aagiée de X ans ou environ, au mandement de la Royne, mere dudit Dauphin, Jehan, duc de Bourgoigne et contes de Flandres, cousin germain du Roy et pere de la femme dudit Dauphin, qui venoit au Roy, comme l'en dit, pour faire hommage après le decès de Phelippe, son pere, oncle du Roy jadis, deses terres, et pour le visiter et aviser, comme l'en disoit, du petit gouvernement de ce royaume, souspeçonnans, comme l'en dit, que la Royne n'eust mandé ledit Dauphin pour sa venue, chevaucha hastivement et soudainnement à tout sa gent armée de Louvres en Parisis où il avoit geu, en passant par Paris environ VIJ heures au matin, et aconsuit ledit Dauphin, son gendre, qui avoit geu à Villejuyve, à Gevisy. (BAYE, I, 1400-1410, 137)

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