C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de gaillard dans 7FMR 
5 attestations 
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[1]Noble dame madame Aude de Saint Martin, deguerpie de feu Monseigneur Yon de Garenchieres, jadis chevalier, laquelle cognut noble homme Monseigneur Jehan de Betencourt, chevalier, seigneur de Grainville la Teinturiere, et noble dame Madame Jehanne de Saint Martin, dame de Houdedot, estre ses drois hoirs naturieux et vrais heritiers de toute sa terre que elle a a present et peut avoir et qui lui peut et doit appartenir, tant a cause de l'esqueanche de la baronniere, terre et chastel, rentes et revenues de Saint Martin le Gaillard, que de toutes autres terres, rentes et revenues quelconques. (6205, 320)
[2] En la presence desquelz ledit Chancelier exposa et dit en effect que le Roy et les gens de son Conseil avoient toujours desiré et desiroient l'entretenement de la Court et de sa souveraine justice de Parlement, et de faire paier les gaiges de ses conseilliers et officiers d'icelle Court, mais que, pour la diminucion des finances et revenues du Roy et pour autres grans charges qu'il avoit à soubstenir à cause des guerres et autrement,il ne povoit bonnement paier tant de conseilliers et officiers comme on avoit ou temps passé, et que le Roy ne pourroit bonnement paier que jusques au nombre de XXIJ conseilliers avec les presidens dudit Parlement pour ceste année, non compris oudit nombre lesdiz mes Gaillard et de Celsoy, et aussi ledit Piedefer, qui seroient paiez ainsi que les XXIJ dessusdis. (FAUQ., III, 1431-1435, 75)
[3] Et, pour ce, et affin de mieulx et plus seurement y besongner au vray, je vous prie que, incontinant ces presentes, venés à Loches querir ledit Bauquet par des gentilzhommes bien seurs et des plus feables que ayés en vostre compaignie, pour l'amener à Chasteau-Gaillard bien et seurement et illec faire et achever son procès. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 203)
[4] Et en oultre tint tousjours du roy Montivillier, Harfleu et Chasteau-Gaillard, qui luy valoient II mil livres tournois. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 387)
[5] et s'en ala le roy Phelippe en Guyenne et print plusieurs places, et s'en revint enNormendie l'an mil IJc et IIJ et print Falaise, Danffront, [Gaillard] et assiega Rouen, et les conquesta et mist en sa subjection comme son vray demaine; (JUV. URS., T. crest., c.1446, 96)
[6] Or est ainsi que son temple royal Suscita lors mes ennuyés esprits : Car environ de ce divin pourpris Y soupirait le doux vent Zéphyrus, Et y chantait le gaillard Tityrus : Le grand dieu Pan de par ses pastoureaux Gardant brebis, boeufs, vaches, et taureaux, Faisait sonner chalumeaux, cornemuses Et flageolets pour éveiller les Muses, Nymphes des bois, et déesses hautaines, Suivant jardins, bois, fleuves, et fontaines : Les oiselets par grand joie et déduit De leurs gosiers répondent à tel bruit. (R014, 97)
[7]LE connin de garenne a le poil plus roux etmoins espais, le corps plus agile et moins gros :plus esveillé, et plus sauvage : la chair plus plaisante,et moins melancholique que celuy declappier : car le clappier parce qu'il n'a libertéde courir, ne fait grand exercice, ains est plusprivé, plus gros, plus touffu, plus pesant, plus endormy, etmoins gaillard : aussi s'il advient par cas fortuit qu'il entre enla garenne avec les sauvages, incontinent est devoré des regnardset autres bestes ennemies des connins, n'ayant accoustuméles assaux et incursions de telles bestes. que jusques au nombre de XXIJ conseilliers avec les presidens dudit Parlement pour ceste année, non compris oudit nombre lesdiz mes Gaillard et de Celsoy, et aussi ledit Piedefer, qui seroient paiez ainsi que les XXIJ dessusdis. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, (null))

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